Le soleil annonce un nouveau refroidissement climatique : préparons-nous à avoir froid, plutôt que d’écouter des organismes susceptibles de s’enrichir avec les énergies renouvelables dont ils justifient eux-mêmes l’existence.
Depuis la nuit des temps, il y a des changements climatiques. Des périodes de froid succèdent à des périodes chaudes. Depuis peu, les changements climatiques sont attribués à l’homme : il jouerait un rôle néfaste en multipliant les émissions de CO2. Ce dernier aurait pour effet de provoquer un réchauffement.
Pourtant, un refroidissement climatique se prépare. Il découle de la découverte de l’astronome Valentina Zharkova. Cette découverte est capitale : les taches solaires peuvent être prédites et elles sont signe de réchauffement s’il y en a beaucoup, de refroidissement s’il y en a peu.
L’interprétation des taches solaires
Depuis des siècles, l’homme observe les taches solaires et le parallèle entre leur nombre et le temps qu’il fait. Il y a 200 ans, William Herschell, l’astronome qui a découvert la planète Uranus, attirait l’attention de ses collègues sur le lien entre le prix du blé en Angleterre et… le nombre de taches solaires. Si elles ne sont pas nombreuses, le ciel est couvert, il fait froid et les récoltes sont faibles, s’il y en a beaucoup, le ciel est dégagé, il fait chaud et les récoltes sont généreuses.
D’épouvantables périodes de refroidissement climatique avec très peu de taches solaires, connues sous le nom de « Périodes de Maunder et de Dalton », entre 1600 et 1800 ont été encadrées de périodes plus clémentes de 1300 à 1600 et de 1800 à 2000.
Aujourd’hui, le GIEC, organisme politique de l’ONU, financé pour démontrer le rôle climatique de l’homme, nie ou minimise l’importance des prédictions de Valentina Zharkova. Pourtant, un an plus tard, aucun astronome ou autre scientifique n’a émis la moindre critique sur sa découverte.