Ce qui suit n’est pas très délicat, mais ça fait rire tous les anti-gauchistes sur les réseaux. Le Parisien raconte la belle histoire de la radio qui fait vomir.
« Bon, finalement, je suis malade aussi. J’ai vomi toute la nuit. » Samedi matin, Thomas (le prénom a été changé à sa demande) le reconnaissait : il ne faisait plus le malin. La veille, avec ses collègues journalistes à France Info, ils souriaient en apprenant que ce qui ressemble à une intoxication alimentaire se répandait à grande vitesse dans les couloirs de la Maison de la radio (Paris XVIe). Selon eux, cela ne pouvait venir que de la cantine, dont la qualité des repas fait l’objet de blagues récurrentes dans l’ensemble du bâtiment.
À Radio France, une mystérieuse épidémie de « troubles gastro-intestinaux ».
Intoxication alimentaire à la cantine ou virus qui circule dans les couloirs de la Maison de la radio ?
La direction du groupe a saisi l’Agence régionale de santé.
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— Le Parisien (@le_Parisien) July 13, 2025
L’information en soi est banale, une épidémie de gastro dans une entreprise, mais ce sont les commentaires qui nous intéressent.


On dirait que la consanguinité et la non-pluralité idéologique de Radio Paris ont eu des conséquences néfastes sur la santé de ses troupes, qui, on le sait, sont une armée mexicaine. Enfin, jusqu’à ce que la loi Rachida passe. Et elle va passer en force. Les charrettes et la guillotine sont déjà prêtes à tailler dans les effectifs.
Ces réactions qui oscillent entre humour bon enfant et cruauté mentale montrent toutefois une chose : la radio d’État n’est pas populaire, même si elle est la première de France en terme d’audience. Cela prouve juste qu’elle plaît uniquement à ceux à qui elle s’adresse, à savoir moins de la moitié du corps électoral, sans égards pour les autres. C’est une radio gauchiste, sans la moindre once de droitisme, de nationalisme ou de patriotisme, sauf quand si on considère qu’il s’agit d’une radio israéliste.
Là, soudain, elle devient de droite, raciste, nationaliste, et même génocidaire. C’est le paradoxe de France Inter et de ses petites sœurs : ce qui est interdit par la gauche ici est autorisé par la droite là-bas, et donc autorisé dans l’enclave « étrangère » des médias de service public. On peut alors parler d’une ambassade médiatique israéliste en France, et pourquoi pas, d’une occupation.
@magelya5 @Bistoufly ♬ son original - Magelya5
L’autre paradoxe, c’est que les Français votent (par exemple au 1er tour 2022) à moins de 35 % à gauche, toutes gauches confondues, et que « leurs » médias publics sont gauchisés en majorité. Cette situation est intenable, et cette représentation dysfonctionnelle explique la violence des réactions ci-dessus. Il n’y a pas de violence sans injustice.
Vous allez nous dire, la violence des racailles ne peut pas être justifiée par une quelconque injustice. Si, de leur point de vue : les casseurs, dealers et autres poignardeurs ont conscience qu’ils n’ont pas d’avenir, pas de formation, pas de boulot intéressant, ce sont les chândâlas de notre société. À la différence des intouchables de l’Inde, chez nous, les derniers de la classe (sociale) se révoltent. Ils n’ont rien à perdre, se savent socialement foutus, déclassés pour toujours. Ils ne sont pas de France, ils sont d’un no man’s land, l’ambassade d’un non-pays.
Le rapport avec Radio Gauchiasse, la donneuse de leçons foireuses ?
C’est que la France est devenue le pays des injustices, sources de toutes les violences. Tant qu’il y aura une minorité, et en plus une minorité de malades, à la direction de ce pays, tout ne sera qu’injustice et chaos social. Ceux qui du matin au soir dénoncent « la haine » dans nos médias occupés n’ont même pas compris qu’ils en étaient à l’origine, qu’ils incarnaient et généraient cette haine. Il est ensuite facile de taxer la réponse à leur authentique haine de classe (et de race !) de haine populiste, de haine antisémite et autres balivernes.
Si la résistance et la contestation sont de la haine, alors c’est seulement la haine de l’injustice.
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