Egalité et Réconciliation
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Quand Arte Junior fait de l’idéologie LGBTQ dans un programme destiné aux enfants

Arte ayant retiré l’émission en question, nous avons retrouvé les images de la Pride de Budapest du 28 juin 2025.

 

 

Nous avons retrouvé l’émission de propagande, qui a été réincorporée dans l’article d’Usmani.

Arte reste malgré quelques documentaires intéressants une chaîne d’idéologie gauchiste. Il faut zapper les journaux d’information, qui ne sont malheureusement que propagande. Tant pis pour ceux qui les regardent, petits ou grands : ces JT agissent comme les faux vaccins, avec des protéines LGBT-Spike qui se propagent ensuite dans tout le cerveau et qui le bousillent.

Pour dire l’idéologie en une image de la chaîne de BHL, on a trouvé ça :

C’est une série documentaire en trois épisodes sur les Blancs qui tuent des gentils de couleur. Ça change un peu.

https://www.arte.tv/fr/videos/124647-000-A/la-haine-blanche-1-3/

https://www.arte.tv/fr/videos/124648-000-A/la-haine-blanche-2-3/

https://www.arte.tv/fr/videos/124649-000-A/la-haine-blanche-3-3/

La Rédaction d’E&R

 


 

Arte Junior, magazine d’information destiné aux enfants de 10 à 14 ans, propose chaque jour un petit résumé de l’actualité « à hauteur d’enfant ». Une initiative en apparence louable, mais qui révèle de manière de plus en plus flagrante une orientation idéologique assumée, voire militante.

 

 

 

Dans l’édition du 30 juin dernier, la présentatrice, dans un ton à la fois sucré et condescendant, revient sur la tenue de la Pride à Budapest. Très vite, l’objectif n’est plus d’informer mais de valoriser une vision du monde bien précise. Elle se félicite du succès de la marche et déplore que le Premier ministre Viktor Orbán ait voulu l’interdire. Dans le monde binaire de cette présentatrice, le méchant est clairement désigné.

Le plus troublant survient ensuite : toujours avec une voix douce, presque maternelle, elle présente les couples homosexuels et qui aiment les deux genres comme des modèles sociétaux exemplaires, sans nuance ni questionnement. Cette affirmation est martelée comme une évidence. Dans un programme pourtant destiné à un jeune public, encore en pleine construction intellectuelle et morale, on impose un prisme idéologique unique, sans débat, sans contradiction, comme une vérité absolue.

C’est une forme d’endoctrinement discret mais efficace, qui passe par le ton, le choix des mots et l’absence totale de pluralité des points de vue. L’émission insiste lourdement sur une société qui serait naturellement « diversifiée », « inclusive » et que tout autre modèle serait rétrograde, voire moralement condamnable.

Qu’un média d’opinion tienne ce discours est une chose. Mais qu’une émission pour enfants adopte un vocabulaire militant pour présenter une actualité filtrée par l’idéologie en est une autre. On ne prépare plus les enfants à penser par eux-mêmes, on les habitue à penser « comme il faut ».

Plus encore, le deux poids deux mesures est flagrant. La présentatrice célèbre avec émotion la « liberté de manifester » à Budapest, présentée comme un acte de courage face à la répression autoritaire. Très bien. Mais où était cette même indignation — ou simplement cette voix — lorsque les Gilets Jaunes français se faisaient tirer dessus au LBD, éborgner, mutiler ou gazer pendant des mois sous les ordres d’un pouvoir pourtant démocratique  ?

Le contraste est saisissant : une Pride étrangère mérite l’éloge, mais des citoyens français matraqués en pleine rue n’ont pas droit à un mot de soutien dans cette émission pour enfants. La violence des répressions policières en France a pourtant été largement documentée, y compris dans des images insoutenables comme celle-ci, où un homme est violemment blessé au visage par un tir de LBD. Pas un mot sur la liberté de manifester dans ce cas précis.

 

 

On peut – et on doit – parler de sujets de société avec les jeunes. Mais à condition d’ouvrir le débat, de leur apprendre à poser des questions, à comprendre les différents points de vue, pas à ingurgiter des slogans prémâchés sous couvert de bienveillance.

Alimuddin Usmani

 

Toute l’Europe est contaminée

 






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2 Commentaires

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  • Il faut absolument retrouver l’émission d’Arte, mettte en pleine gueule des contribunables français le passage dont est extrait l’image illustrant cet article, et demander des comptes à cette chaine.

    Arte a décidé de retirer l’émission ? Il faut leur demander l’explication de ce retrait, et l’explication de la présence des séquences incriminées dans une émission pour enfants.

    Complément, d’info, au sujet de Radio-Canada : la semaine dernière un journaliste du côté du réseau anglais, Travis Dhanraj, a donné sa démissiom avec fracas, après avoir subi des semaiens de représailles.

    Le mec, d’origine indienne, faisait trop de place à la diversité des idées dans son émission. Ses patrons s’attrndaient à ce qu’il fassent dans le woke et le mondialisme, mais monsieur donnait aussi la parole à des gens ayant des idées conservatrices. La direction a refusé sa démisission, en ajoutant que tant qu’il demeurait employé il était tenu à un devoir de loyauté.

    Son avocate et lui ont promis un feu d’artifice judiciaire.

     

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  • Le primitivisme sacralisé : sur la convergence idéologique entre messianisme communautaire et radicalisme identitaire

    Il est relativement saisissant — pour ne pas dire troublant — de constater à quel point certaines mouvances contemporaines, en apparence antagonistes, partagent une même architecture mentale fondée sur la victimisation éternelle, la sacralisation de l’identité, et l’immunité à la critique. On observe ainsi, chez les branches les plus radicalisées du militantisme LGBT comme chez les expressions les plus expansionnistes du sionisme politique, une volonté commune : celle de se poser en figures intouchables, hors d’atteinte, exemptes de tout questionnement rationnel. L’histoire, dans ces discours, n’est pas un objet d’étude, mais une arme ; elle n’invite pas à la compréhension, mais au chantage moral.

    Ces formations idéologiques opèrent selon des structures mentales archaïques : elles ne discutent pas, elles condamnent ; elles n’analysent pas, elles sanctifient ; elles n’intègrent pas, elles excluent. Toute altérité est réduite à une hostilité, toute critique assimilée à une menace. C’est là la marque des systèmes primitifs — ceux qui ne reconnaissent que les siens, et qui traquent l’ennemi sous mille noms : “homophobe”, “antisémite”, “réactionnaire”, “déviant”.

    Ce n’est pas la modernité que ces groupes incarnent, mais sa caricature — un simulacre progressiste servant des finalités tribales. Ce ne sont pas des porteurs de lumières, mais des agents de clivages. Ils occupent les capitales, les universités, les rédactions, les scènes culturelles, et pourtant ils pensent comme on pensait avant l’âge de la raison : en termes de lignée, de pureté, de sacré offensé.

    Ce type de militantisme identitaire, lorsqu’il échappe à tout cadre critique, devient ultra-dangereux. Il écrase les liens humains, détruit les familles, et profane la nuance. Lorsqu’un être aimé, une mère même, devient la cible de cette mécanique idéologique, l’abstraction cède à la réalité : ces gens ne sont pas seulement doctrinaires, ils sont toxiques — et parfois destructeurs.

    On ne lutte pas contre ce danger par la haine, mais par une lucidité sans concession. Ce n’est pas une croisade, c’est un devoir de vérité : exposer les fondements primitifs de ces sacralités modernes, et les priver du prestige de l’innocence qu’elles s’arrogent.

    Tu as vu l’amour qu’ils portent aux Palestiniens.
    Tu as vu l’amour qu’ils portent aux Chrétiens.
    Tu as vu l’amour qu’ils portent aux Français.

     

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