RFK participe à l’enfumage général.
Les recherches de gain de fonction confiées par le trio Fauci, Daszak, Baric à l’université de Californie pour le compte de la DARPA ont été exportées au laboratoire de Wuhan pour s’affranchir du cadre légal américain, tout comme les Irakien et Afghans raflés par l’armée américaine ont été exportés à Guantanamo pour s’affranchir du cadre légale américain qui leur donnait des droits humains, notamment celui de ne pas être emprisonnés sans preuve ni charge.
Le problème central c’est la collusion indéniable entre l’industrie pharmaceutique (et ses actionnaires BlackRock, Vanguard...) et les pouvoirs publics (gouvernement, agences de santé...) pour interdire tout traitement "concurrent", imposer des protocoles délétères et sans fondement scientifique (PCR, masques, intubation, RemDesevir), pour créer les conditions visant à imposer la commercialisation d’un produit expérimental par un harcèlement psychologique médiatique inédit dans l’histoire, et des confinements (sans fondements scientifiques et inédits dans l’histoire) parfaitement synchronisés à l’échelle mondiale.
L’autre problème c’est que les brevets autour de la technologie ARNm appartiennent à la DARPA (Armée américaine) et que Pfizer, ModeRNA et cie ont juste servi de chevaux de Troie pour donner un vernis "médical non militaire" au produit commercial.
Le dernier problème c’est qu’il existait deux définitions du produit commercial ARNm. Pfizer et ModeRNA ont présenté la définition du produit commercial le présentant comme "vaccin", pour lequel il a fallu par ailleurs modifier la définition légale du vaccin pour permettre aux fabricants d’être exonérés de toute responsabilité juridique selon la loi américaine votée sous Reagan, et qui visait à obtenir l’autorisation de mise sur le marché par le NIH.
L’autre définition, la vraie, présentait le produit commercial comme "un dispositif médical injectable" (injectable device). C’est ce qui explique pourquoi ceux qui ont fait l’effort d’analyser les contenus des fioles de jus expérimental en sont tous venus la conclusion que le produit injecté n’était pas le produit déclaré ayant obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.
Le Japon a été le seul pays à suspendre immédiatement les injections suite à la découverte de cette incohérence/duperie.
Le premier ministre japonais qui a pris cette décision a été assassiné.
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