Egalité et Réconciliation
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Peut-on rire de tout ?

Question mille fois posée, devenue le marronnier, le baobab des humoristes. Oui, on peut rire de tout, et mourir jeune aussi. Le niveau de tolérance de l’humour varie selon les individus, leur histoire, leurs souffrances. La question est plutôt : faut-il repousser ses propres limites, et arriver à rire de ses propres souffrances ? On l’espère.

 

Harcèlement sexuel antigay, ça suffit !

La perle de l’année en matière de victimologie, c’est cet « article » du Plus (il y a un jeu de mots facile avec le Pus, qu’on ne fera pas), la poubelle en ligne du Nouvel Obs, où un jeune gay trentenaire parisien nous raconte sa souffrance de se faire draguer… par de vieux bisexuels libidineux.

Une nouvelle souffrance est née. Nous croyions, naïvement, que c’étaient surtout les homos qui harcelaient sexuellement les homos, dans une joyeuse partouze confrérique libératoire, eh bien non : il y a parmi les honteuses – ces hétéros honteux d’être homos – des comportements inacceptables, et qui pourtant ne déclenchent aucune manif de soutien, comme celles qui ont agité la France en 2013. Homophobisme ? Homophobismie ?

Les Français, prompts à se mobiliser contre le mariage homo, ne sont pas descendus dans la rue pour défendre « zenon ligre », notre ami du gay Paris traumatisé par les propositions visuelle et verbale un peu crues de deux ignobles hétéros coincés. Ah, s’il était possible de faire un procès à toute la France hétéro en bloc... On frôle le stade du nazisme, dans cette affaire. L’étoile rose, de sinistre mémoire… Au fait, pourquoi la mémoire devrait-elle toujours être sinistre ?

On imagine l’indifférence des usagers du métro, alors que « zenon ligre » est en train de souffrir intérieurement de la proposition salace d’un inconnu : « Tu descends et tu me suis. » La parité, grâce au Nouvel Obs pierrebergétisé, c’est aussi de reconnaître l’intolérable harcèlement sexuel des gays. En passant, on remarquera la floraison soudaine de papiers essentiels sur l’homosexualité dans les torchons fraîchement rachetés par le Bergé, qui change les journalistes en moutons d’un coup de braguette magique. On a une pensée pour tous les popos que Pierre a palpés dans ses canards respectifs depuis Globe. Le tarif, à l’époque, c’était une montre.

Ah non, pour une fois, aucun rapport avec la reconversion en « critique ès montres » chez GQ de Julien Dray, l’homme qui n’a jamais touché d’argent de SOS Racisme. Ne mélangez pas tout, bordel !

 

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L’artiste-escroc pose devant un projet de volets roulants noirs

Pour une fois, on est d’accord avec Pierre Bergé

Consacrer un musée à Pierre Soulages dans cette bonne vieille ville de Rodez, c’est comme confier la cuisine de la Tour d’Argent au responsable Frites du MacDo d’Argenteuil. Mais aujourd’hui, en matière d’art, tout est possible, même le pire. Les jujournalistes (journalistes ET juges) du Grand Journal reprochaient récemment à Karim Ouchikh, le conseiller de Marine Le Pen à la Culture, d’avancer masqué en n’osant plus utiliser le terme « décadence » pour caractériser la production actuelle. Gros clin d’œil de cyclope aux nazis et à l’Art dégénéré.

Que diraient les nazis aujourd’hui ! Décadence, c’est encore respectueux pour le tas de merde qui non seulement a détourné le grand public de l’art « moderne », mais qui l’a poussé dans les bras de l’art passé. Les gens de bon sens se sont en général arrêtés à 1960, quand l’explosion du « pop art » américain a commencé à faire sombrer le goût. Si là aussi, il y a réaction, conservation, il ne s’agit pas d’un retour en arrière, mais d’une résistance au mépris des spéculateurs. Si des petits Français étaient capables de découper une reproduction de Dali, Bacon ou Rebeyrolle pour la coller au mur, on ne voit personne refaire chez soi une « installation » à base de vidéo concept qui tourne en boucle sur un tas de charbon. Le marché de l’art est une chose, la création réelle en est une autre. C’est principalement hors système que les peintres créent, aujourd’hui. Les Van Gogh d’aujourd’hui existent, mais on en saura plus dans 50 ans.

Bergé, roi des mécènes, en tant que ministre officieux de la Culture (il règne sur elle depuis 40 ans), donnant son avis sur tout (il va peut-être nous donner des conseils de beauté, ou confier à Galliano la création de la tenue officielle E&R), a raillé cette décision, arguant que Soulages n’était pas un peintre de classe mondiale. Ce qui est le simple bon sens. Aujourd’hui, le bon sens provoque un scandale. C’est dire l’inversion des valeurs. Eh bien, continuons à scandaliser nos élites.

 

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Ces jeunes se préparent à un avenir sur les trottoirs

Faire émerger une stratégie européenne pour le sans-abrisme

Vous avez bien entendu. On dirait une blague, mais c’est du pur eurojargon entendu chez un responsable européen. Oser inventer le concept de « sans-abrisme », trouvaille d’eurotechnocrate surpayé, c’est donc à ça que sert l’Europe. Mais ne sombrons pas dans l’anti-européisme primaire. Rome ne s’est pas faite en un jour.

Les députés européens ont adopté en début d’année un texte pour faire émerger « une stratégie européenne pour le sans-abrisme ». On imagine la fête que cette idée de gauche a dû provoquer chez les clochards et autres zonards, du moins chez ceux qui ont le temps de s’informer (on trouve toujours un numéro du Parisien dans une poubelle ou dans des toilettes de bistrot). Trois jours de tawa ininterrompue, mieux qu’un mariage tzigane, un Ibiza du crade, avec picrate à volonté, bouffe en veux-tu en voilà (récup habile des poubelles de supermarché avant l’arrosage au chlore), et troupeau de filles de l’Est pas timides à la piquette et à la braguette.

L’Europe, après avoir réglé l’immense problème du calibre des frites, s’attaque au sans-abrisme. Autant dire que la pauvreté est foutue. Ce vieux pruneau de Jacques Séguéla émergera de son cercueil cinq étoiles pour baver le slogan de la manif des loquedus : « Pauvreté, t’es foutue, l’sans-abrisme est dans la rue ! », avec un étron smiley pour logo.

Attendez, c’est pas fini : la résolution soumise par les députés à la Commission a été adoptée, tenez-vous bien les côtes, par 349 voix pour, 45 contre, et 113 abstentions. Il y a donc 45 méga salopards qui sont POUR la misère, et 113 pourritures qui s’en foutent. Heureusement, 349 humanistes ont sauvé la face de l’Europe, donc du monde libre. Demain matin, en sortant dans la rue, on regardera avec optimisme le SDF du coin, allongé tel un centurion sur son matelas défoncé (que même les cafards ont fui), qui ne sait pas encore qu’il est sauvé. Tiens bon, mon gars, l’Europe va te sortir de là. Bienvenue dans le monde des abrités !

 

Réforme territoriale, la solution

Et si on simplifiait tout ? La France n’aura plus qu’une région, baptisée « île de France avec des trucs autour ». La France, ce pays qui compte autant de villes et villages que toute l’Europe réunie (36 681), tente de simplifier un peu sa carte. Il faut qu’on soit plus lisibles pour la Commission européenne. Après avoir lâché notre industrie, partie en Asie, Europe de l’Est ou Allemagne, voici qu’on re-découpe notre pays. Heureusement, il nous restera toujours le tourisme de masse.

La France, envahie par les Américains il y a 70 ans, est envahie chaque année en été, comme une commémoration, par les touristes du monde entier. Sans oublier les clandestins (qui ne meurent pas en route). La France est depuis des lustres le pays de l’invasion, et plus récemment celui de l’évasion. Ceux qui cherchent un job feraient bien de trouver une formation dans le tourisme régional spécialisé. Parler deux ou trois langues, dont le français, anglais allemand chinois serait un plus, les langues à devises, n’est-ce pas, les autres on s’en fout, présenter bien, et connaître les spécialités de nos régions : bêtises à Cambrai, pluie en Bretagne, cirrhose dans le Calvados, Plus belle la vie à Marseille, ou mosquée d’Argenteuil. Il s’agira d’accompagner le touriste et son rapport muscles/graisse trop faible dans un tchou tchou qui traversera un bout de pays, avec village conservé en l’état et vrais habitants à l’ancienne, le tout agrémenté de petits plats typiques arrosés de crus locaux. Plus le panier des spécialités en partant : une boutanche et une carte postale avec une Française accorte qui fait une clin d’œil appuyé, et l’adresse du site Internet au dos. Les touristes viendraient chier de la devise chez nous, et nous ramasserions cette manne divine contre quelques contorsions génuflexives culturelles.

Il est beau, le futur de la Grande Station d’épuration européenne.

 

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Ici Ariel, gros rabatteur de militants pour E&R, fait monter le curseur de l’antisémitisme

La longue descente aux enfers des « branchés »

Ariel Wizman fait croire depuis 20 ans à Canal qu’il est à la pointe de toutes les modes intellectuelles, mais surtout textiles. La crédulité des dirigeants de cette chaîne richissime (1,7 milliard d’euros de CA) est stupéfiante. À l’arrivée, un faux penseur bourgeois au CV trafiqué victime de savoirs biodégradables, qui tiennent à peine le temps d’une chronique. Après, ils tombent en poussière, que ramasse l’immigré de service en plateau. « Ce n’est que de la télé », entend-on souvent dans la bouche de ces méprisants, quand on pointe la médiocrité des programmes. Traduction : pas la peine de se casser le cul pour ce tas de cons.

Sébastien Tellier, ex-marquis de la hype, auteur de fulgurances creuses qui impressionnent encore Technikart (effet secondaire du restaurant japonais d’en face ?), a d’abord été savaté par sa figuration à l’Eurovision, puis achevé en homme-sandwich pour une marque de bière. Une noble trajectoire. Comme quoi tout ce qui est lourd retombe un jour. Nous conserverons de lui cette citation éternelle : « La barbe, pour le côté mystérieux, les cheveux longs pour le côté féminin, les lunettes noires pour le côté sophistiqué. » Ce désastre artistique post-asilaire arrive néanmoins à se produire ici ou là, comme au Festival de Cannes. À chaque nouvel album, ce héros de l’Eurovision fait un retour musical à avant l’album qui n’a pas marché. Une loi mathématique intéressante, mais c’est tout.

 

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Gros Patrick lit l’acte d’accusation, mais Julien ne comprend rien

 

Julien Doré est cette jeune femme à barbe qui a enchanté la Nouvelle Star ou la Starac, ou la Nouvelle Starac. Poète marketing designé pour plaire aux hommes et aux femmes, aux grand-mères et aux petites-filles, et plus généralement à ceux qui ont perdu toute notion de goût, sa médiatisation disproportionnée annonçait déjà, en 2007, la théorie du genre. Aujourd’hui, il chante pour France 2, sur le plateau de Patrick Sébastien, le soir de la Fête de la Musique. Trois raisons de mourir de honte. Pourtant, il y a des gens encore plus perdus que lui : ceux qui achètent ses disques. Ce sont eux les vrais artistes, les vrais fous, quelque part. La masse d’argent gagnée, dans ce cas, sert uniquement à ne pas sombrer dans le désespoir. Curieux, ces personnes pauvres d’esprit mais généreuses qui financent un minet qui fait du vent. Du financement participatif avant l’heure. Théorie du genre, crowdfunding, niquer la miss météo… Julien est bien en avance sur son temps. C’est un artiste. Au temps pour nous.

 

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Tu sens mon doigt ?

Dieudonné & Gad Elmaleh

Il paraît qu’il y a une gauche israélienne pro-palestinienne. Si elle ne sert pas uniquement de vitrine démocratique à l’extrême droite au pouvoir là-bas, peut-être verra-t-on un jour une tournée de Dieudonné en Israël. Si elle n’est pas officiellement annulée pour « raisons de sécurité », il faudrait revoir un peu les textes de l’humoriste. On conseille au locataire en sursis du théâtre de la Main d’Or de travailler avec Gad-le-Malin, un auteur très passe-partout. Qui plus est, associé à une princesse qui habite un véritable paradis fiscal, lui permettant de ne pas souffrir de l’abominable fiscalité française. Ce serait tout bénef pour tout le monde. Ah, et il faudrait trouver un rôle pour Élie. Parce que Ducobu, ça ressemble à une punition.

 

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Pasolini fait la gueule à Jésus

Le Fils de l’Homme

Si quelqu’un arrive à regarder Le Petit Journal (qui va devenir grand, c’est Maxime Saada, membre du Directoire de Canal, qui le dit) sans vomir, à rire devant une comédie populaire « française », à lire les éditos du Point calmement, à apprendre quelque chose dans les 32 pages du Parisien, à éprouver de la compassion pour Taubira, dont la fonction réelle est de faire monter le racisme, à conserver son sérieux devant l’argumentaire européiste du clochard Peillon, à accueillir Leonarda et sa joyeuse famille chez soi, à admirer le visage lumineux de Charlotte Gainsbourg à l’écran, alors cette personne est digne du Fils de l’Homme.

Pour ceux qui ne savent pas, ou qui n’ont pas (encore) lu les Évangiles, le Fils de l’Homme est l’être qui viendra après l’Homme, comme nous sommes venus après le singe. Ce qui suppose un sacré saut de conscience. La plupart des Terriens n’en sont pas encore là, empêtrés qu’ils sont dans des histoires de fric, de boulot, de cul ou de famille. C’est plombant. Le Christ, lui, on ne sait pas trop comment, était passé à l’étape suivante, en larguant toutes les amarres. Un coup risqué, mais gagnant. À ceci près que personne sur Terre n’a vraiment idée du stade suivant de l’Évolution. On peut quand même imaginer que le FDH sera à l’homme ce que l’homme fut au singe : un saut qualitatif inimaginable, avec une puissance de feu cérébrale inouïe, et peut-être une organisation sociale moins débile. En attendant, il faudra se contenter des menteurs de la télé, des abrutis de la radio, des pervers du cinoche, et des vendus de la presse. C’est une image.

L’actualité politico-médiatique décryptée avec humour,
c’est aussi chez Kontre Kulture :

 
 






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29 Commentaires

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  • #893041
    Le 13 juillet 2014 à 13:23 par Rekedi
    Peut-on rire de tout ?

    Le rire est essentiellement méchant.
    Un gars qui se mange un poteau dans la rue me fera toujours plus rire qu’un mec qui vient de gagner au loto.

     

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  • #893224
    Le 13 juillet 2014 à 15:37 par Paskl
    Peut-on rire de tout ?

    Ah, si plus souvent je savais me prendre à la légère !

     

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  • #893303
    Le 13 juillet 2014 à 16:34 par Simone Choule
    Peut-on rire de tout ?

    Je ne sais pas qui écrit cela mais il est temps de faire valoir la signature de cette plume sarcastique et pleine de bons mots ! Le jour où Kontre Kulture l’édite, j’en achète un pack de 12 livres : c’est ultra drôle !

     

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  • #893332
    Le 13 juillet 2014 à 17:02 par redsniper06+x
    Peut-on rire de tout ?

    On peut rire de tout mais surtout pas avec les sionards ..................sinon la sanction c’ est : ....Antisémiiite !!!..................

     

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  • #893776
    Le 13 juillet 2014 à 23:29 par DJL 93VIDEO
    Peut-on rire de tout ?

    Peut-on rire de TOUT ?

    D’un point de vue traditionaliste et symbolique on dit que LE TOUT est Dieu ... Donc la question "Peut-on rire de TOUT ?" devient "Peut-on rire de Dieu ?" ... et là la question prends une direction très laïque, très anti-religion, très pro-gouvernemental ...

    Tout est relatif, sauf L’ABSOLU ...

     

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    • #896070
      Le Juillet 2014 à 19:44 par MaxC
      Peut-on rire de tout ?

      Dieu selon toi n’aurait donc pas d’humour ?

      Si Dieu est Tout, alors cela inclue l’humour, Dieu est donc le maître incontesté de l’humour.

       
  • #893789
    Le 13 juillet 2014 à 23:50 par David
    Peut-on rire de tout ?

    Rien de nouveau sous le soleil comme le dit l’Ecclésiaste.

    Quoique je sens du pire en pire et à se rythme je me demande si l’homme ne devient pas singe, enfin y a des singes qui ont la belle vie, c’est peut-être préférable.
    L’Homme une impasse évolutive hmmm.

     

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  • #893852
    Le 14 juillet 2014 à 00:51 par Apache6669
    Peut-on rire de tout ?

    Après l ecclésiaste voici le pédéraste tres en vogue actuellement comme la femen une espèce de pseudo pour dégénérées en tout genre comme la théorie du même nom soutenue par tous nos bon penseurs bien pensant du lobby LGBT qui doit représenter comme son jumeau le lobby sionard moins de 1 /100 de la population .Quand va t on chasser tous ces jean foutre pour l atmosphère redevienne respirable

     

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  • #894042
    Le 14 juillet 2014 à 08:20 par Paskl
    Peut-on rire de tout ?

    Très, très drôle et acide à souhait ! Parfois on dirait du Soral trempé dans le vinaigre.

     

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  • #894982
    Le 14 juillet 2014 à 21:57 par Ronnie
    Peut-on rire de tout ?

    Bel article, incisif et avec du style.
    Un peu dur avec Sébastien Tellier, qui n’a jamais nié ni être un clown ni un bourgeois, et qui se retrouve dans le même sac que Julien Doré. Perso je le trouve plutôt sympathique.
    Son score à l’eurovision est plutôt un bon signe d’ailleurs...
    Après on aime ou on n’aime pas.

     

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  • #895864
    Le 15 juillet 2014 à 17:13 par Rra
    Peut-on rire de tout ?

    "Pour ceux qui n’ont pas encore lu les Evangiles" : vu l’explication que tu en donnes, je pense que tu devais être sous substances et que t’as mélangé entre la Bible et un livre de Darwin.
    Question : Est-ce un article de Soral ? Je sais qu’il est expert en Art contemporain, alors...

     

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