Dans le registre « la politique tordue destinée à augmenter les tensions entre les communautés nationales », le gouvernement sioncialiste rouvre le romoduc pour laisser entrer à nouveau les Dibrani chez nous. Tout un symbole. L’objectif est simple : faire monter la colère anti-étrangers (pauvres), tout en interdisant la colère contre les élites antifrançaises… qui elles, ne tapent pas dans la CAF, mais directement dans le Trésor national. C’est un jeu à double tranchant, car si les Français sont incités à détester les étrangers en situation irrégulière sur leur sol, sinon les profiteurs des prestations sociales, ce sentiment dirigé ne doit pas remonter trop haut. De l’art du maintien dans l’horizontalité.
En attendant, profitons de l’arrivée de ces touristes à l’envers, qui ne viennent pas lâcher de la devise chez nous, mais bien pomper ouvertement les nôtres. Et souvenons-nous : les Roms ne sont que des apatrides pauvres, qui nous sont infligés par le haut (les élites calculatrices) avec la complicité du bas (les militants associatifs) entre autres pour mesurer le sentiment anti-tribal. Un thermomètre dans le cul de la France, c’est hélas la place que le pouvoir humaniste leur accorde. Et puis, on ne sait jamais, l’Histoire a de ces hoquets.
Me Randall Schwerdorffer est le défenseur de Me Brigitte Bertin, avocate de la famille Dibrani, qui a reçu des menaces de mort (de la part d’une seule personne). Brigitte donne des conseils juridiques aux sans-papiers, qui ont permis par exemple, en épuisant tous les recours légaux, d’imposer la présence de Leonarda et sa bande cinq ans sur notre sol, au mépris de nos lois.
- Sans papiers mais avec tracts
« Mais la force du réseau, c’est aussi son carnet d’adresses… Premier à se mobiliser, alors qu’il était candidat à la candidature socialiste pour la présidentielle, Jack Lang était encore de la partie il y a une dizaine de jours, pour tenter d’empêcher une expulsion. C’est lui qui amènera l’actrice Josiane Balasko et d’autres personnalités du monde culturel à rejoindre le mouvement. Mobilisés également, Besancenot, Buffet, Krivine et Laguiller, qui participent à des actions ponctuelles, tout comme la verte Dominique Voynet, venue soutenir la famille Raba à Dole. » (Rue89, 26 juin 2007)
CIMADE, LDH, MRAP, GISTI, RESF, on en oublie, le maillage est national. Un maillage destiné à créer des trous dans les frontières françaises et affaiblir notre législation. Ces officines reçoivent toutes un soutien moral (chacune exhibe son ou ses people), juridique (c’est bon pour l’image de marque d’un cabinet, la défense éthiquable), et financier de la part de nos vraies élites, celles qui ont la main sur le robinet à fric. On peut donc dire qu’il y a un État dans l’État qui prend des décisions contraires aux intérêts du pays.
Qui sont ces noyauteurs, mystère. Toute enquête là-dessus est interdite. Comme le disait justement un titre du site Atlantico, les associations d’aide aux sans-papiers finissent par être aussi toxiques que les passeurs clandestins. C’est un membre de RESF (Réseau éducation sans frontières) qui a permis à la très symbolique famille de Leonarda de sévir chez nous. Tout à fait l’anti-France dont parlait Raymond Barre, mort d’avoir proféré un blasphème antisioniste.
« Si on fait le hit parade des régularisateurs depuis trente ans, ironise Richard Moyon, au premier rang on a Mitterrand en 1981, au deuxième on a Jospin en 1998, et au troisième rang, c’est Sarkozy en 2006. » (Site de la LDH)
La majorité des activistes gauchistes de base, généralement issus des troupes de l’Éducation nationale et syndicalistes (qui plus est détachés de leur entreprise), participe à ce sauvetage des enfants de clandestins sous l’égide RESF, sans imaginer qu’elle peut être manipulée. Par ignorance principalement, car à hauteur d’homme, personne n’imagine un instant le plan ourdi à l’étage supérieur. Ce n’est pas du complotisme, juste de la lucidité : personne ne conteste l’humanisme antifasciste de Moyon, qui coordonne RESF. Mais un imbécile de ce calibre à la tête de cet efficace et très médiatique réseau indique que s’il y a un cerveau dans l’organisation, il est forcément ailleurs, et au-dessus.
- Elle est belle, la gauche
La motivation des troupes, que ce soient des parents d’élèves ou des profs, qui aident les enfants de clandestins scolarisés, s’inspire du « plus jamais ça » relatif aux enfants juifs des années 40. Pourtant, aucun rapport entre la chasse aux juifs de la France vichyste (de juillet 1940 à août 1944) et les taquineries administratives à l’encontre des sans-papiers, qui manifestent par exemple ouvertement, protégés par des « figures de la gauche morale », et qui ridiculisent nos lois. La réponse juridique française a été paralysée par la pression sioniste permanente sur la culpabilité nationale : Vichy, encore et toujours, c’est le Auschwitz français.
RESF, né en 2004, a entre autres bénéficié des soins des bonnes fées de la LDH (Ligue des droits de l’homme), un des nombreux faux-nez du pouvoir innommable. C’est après les années 50 que les noms des présidents successifs de la LDH sont en majorité à consonance juive : Kahn de 1953 à 1958, Mayer de 1958 à 1975, Jouffa de 1984 à 1991, Tubiana de 2000 à 2005, et Tartakowsky depuis 2011. C’est peut-être une coïncidence, mais c’est un fait.
- Curieux, ces triangles en pleine tête de Marianne
GISTI, le Groupe d’information et de soutien des immigrés, a touché 143 897 euros en 2007. Mais cette somme est trompeuse : elle permettrait juste de rémunérer quelques permanents et un local à l’année. Le GISTI touche en fait à beaucoup de râteliers d’associations qui sont elles aussi subventionnées par l’État : la LICRA toucherait ainsi 500 000 euros par an. Ce qui paraît peu probable, le CRIF touchant lui, uniquement pour la région PACA, 190 000 euros en 2008. Le même CRIF qui semblait se réjouir sur son site en février 2013 que les néonazis allemands du NPD aient vu leur subvention supprimée. Zwei poids zwei mesures ?
Voici l’impressionnante liste des « organisations amies » du GISTI : http://www.gisti.org/spip.php?article5
On est au cœur du réacteur de la gauche… archi subventionnée. Une gauche qui conserve d’ailleurs ses prérogatives même sous les gouvernements de droite. Curieux, n’est-ce pas ?
Le GISTI profite aussi de financements privés, à hauteur de 80 %. Mais le soutien est surtout moral, venant de la gauche caviar et de la gauche nouilles, c’est-à-dire la base peu au fait des magouilles, motivée par ses propres sentiments, sincères, voire primaires : il s’agit de prendre position POUR les gentilles victimes du colonialisme venues d’Afrique CONTRE les méchants policiers français fascistes contaminés par l’esprit de Vichy. C’est ce qui ressort de leur communication :
« Cela contrevient aux lois en vigueur. Mais l’enseignement que nous avons à dispenser à nos élèves ou l’éducation que nous devons à nos enfants ne peut pas être l’exemple de la soumission à un ordre injuste. Chacun a en mémoire les épisodes où face à des persécutions insupportables, chacun a dû faire des choix. Et où ne pas choisir était choisir de laisser faire. Et pas seulement dans les périodes de dictature… Nous ne laisserons pas se commettre des infamies en notre nom. »
- Ah, il nous aura coûté cher ce régime de Vichy !
Elle a bon dos, la dictature ! En tout cas, la nouvelle a visiblement besoin de l’ancienne comme justificatif.
Et contre un tel aveuglement des troupes de base entretenu – là se situent le vice et la manipulation – il n’y a pas grand-chose à faire. Il reste l’humour, ou le cynisme : parier qu’un jour, le fils d’une prof au cœur à gauche se fasse racketter par le Rom du coin, ou que le pauvre ressortissant de l’Afrique subsaharienne, issu d’une société rurale traditionnelle, « dominé » sexuellement par les Françaises, craque et agresse sexuellement la fille de la prof en question. Raccourci grossier mais parlant de la situation dans notre pays, sans aller bien sûr jusqu’à criminaliser l’apport extérieur « involontaire » que représentent les clandestins. Car dans l’immense majorité des cas, ces derniers font profil bas : les femmes bossent comme bonniches chez les bourgeois et dans les hôtels, les hommes comme plongeurs de restaurant ou nettoyeurs industriels. On en connaît qui triment, ne font de mal à personne, gagnent chichement leur vie, parlent français (mieux que Marc-Olivier Fogiel), n’ont jamais volé ni violé, et viennent de pays où la vie est dure (Madagascar).
Alors ? Quelle solution ? Le cas par cas, et surtout pas la validation ou la répression massive, génératrices d’erreurs et de folies, à l’image du procès Outreau : accuser toutes les familles de pédophilie a été aussi dommageable que de les blanchir en bloc. À l’arrivée, il y avait bien des pédophiles, et des innocents. Séparer le bon grain de l’ivraie, voilà un travail difficile, mais passionnant.
Attention : le paragraphe suivant est destiné aux lecteurs à mauvais esprit. Les autres peuvent arrêter là leur lecture.
Ces « associations » fonctionnent comme des officines de chantage, qui s’appuient sur l’injustice humanitaire effective (le déséquilibre Nord/Sud) et l’émotion publique qu’elle déclenche pour arracher de l’argent, des postes ou des avantages à la Nation. Leurs responsables sont des maîtres chanteurs, que ce soit l’agitateur professionnel qui « chauffe » les lycéens ou les étudiants, le stagiaire ou le précaire, le sans-papiers ou le clandestin. Ce sont les vrais terroristes, médiatico-humanitaires. Leur métier est de culpabiliser profondément et durablement le grand public de ses penchants mauvais, qu’on peut résumer facilement : amour de la patrie, et désir de vraie justice sociale. Car la justice pour les victimes catégorielles que sont les clandestins, par exemple, sous-entend que le combat des travailleurs est moins légitime, qu’ils peuvent même être considérés comme des salauds de bourgeois (coucou Sartre) par rapport à ce lumpen du Quart-monde.
Le clandestin devient plus méritant en terme de soutien que le travailleur français.
Chacun aura remarqué que les manifestations et combats pour les victimes modernes (clandestins, homosexuels, roms, juifs) ont remplacé les manifestations et combats pour les victimes de ce bon vieux capitalisme, c’est-à-dire les Français pauvres. Le défilé des travailleurs du 1er mai a dégénéré en exhibitions ou fiertés gay, clando, rom et jew. Les « associations de gauche » ont fait leur beurre sur les décombres du communisme français, qui a été dynamité précisément pour cela. Les dynamiteurs se trouvant être aussi les souteneurs des associations. Comme en Israël, les terroristes finissent au pouvoir. La lutte sociale globale (hausse des salaires, co- et autogestion, garantie de travail, retraite décente) a été pulvérisée en luttes communautaires privées et surtout, surtout, dépolitisées. On a désossé la riposte sociale.
Le beauf a remplacé le capitaliste comme bourreau et responsable de l’injustice. Car le patriote, contrairement au patron, est forcément raciste, antisémite, avide (de meilleures conditions de travail et de salaires décents) et homophobe. Habile ! Malin.
- On a retrouvé la bagnole à Jakubowicz !
Les groupes de victimes – inattaquables d’un point de vue moral car « elles ont souffert » – sont choisis pour taper dans ce distributeur automatique qu’est devenu le Trésor national. Ce sont de vulgaires voitures bélier. Après, on peut s’en prendre aux braquos des cités, Karim et Abdelkader, qui ne sont que de piètres amateurs face à cette entreprise de dévalisation nationale. Le Président de la République Manuel Valls n’est pas pour le contrôle des frontières contre les invasions calculées, il tient juste le langage de la fermeté, comme Sarkozy. Sinon, comment la LICRA, qui applaudit à deux mains la politique anti-Dieudonné et anti-E&R de celui qu’elle a fait Premier ministre, pourrait en même temps soutenir les sans-papiers par le biais du GISTI ? Il n’y a pas de contradiction, il n’y a que des naïfs. En général jeunes, intoxiqués, qui brandissent des slogans (dictés par des agitateurs) sur les bouts de carton qui leur serviront plus tard de lits dans la rue.
- Manif organisée par LICRA SA,
l’employeur de Valls
La seule cohérence derrière cette fumée, soutien à Valls ET soutien aux sans-papiers, est bien l’affaiblissement de la France et de ses lois. Les politiques d’aujourd’hui ne sont que des enregistreurs d’ordres, et nos lois ne valent plus rien. C’est le nouveau régime de Vichy, dicté par l’Occupant ! C’est aussi pour cela que BHL est obsédé par le vieux régime de Vichy. Quand les collabos de Charlie Hebdo, le journal qui dénonce les vrais résistants, fustigent les flics et curés d’autrefois, c’est parce qu’ils sont devenus les nouveaux flics et curés.
L’astuce, les habitants impolis des cités diraient « l’encule », c’est que les associations subventionnées en question (sinon ces bulles humanitaires crèveraient aussi sec) bénéficient des relais médiatiques trotskistes (synonymes de sionistes), qui assuraient jusqu’à peu l’appui d’une majorité de l’opinion via les journaux de gauche, eux aussi subventionnés (sinon ces torchons crèveraient aussi sec). Le tour est joué : la partie couillonnable du grand public tombe dans le piège compassionnel, et l’État est « obligé » de céder au chantage, pour mettre fin à la grève, à l’occupation de locaux, ou à l’expulsion de clandestins.
Et l’on sent, comme dans les affaires d’enlèvements de « ressortissants » français en Afrique par l’AQMI, qu’au final, tout se deale avec du cash. On y revient toujours.