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Oubliez "Je suis Charlie" : maintenant c’est "Je suis Gisèle"

« On est face à une victime qui est extrêmement puissante, extrêmement courageuse, qui montre son visage, qui a refusé le huis clos et qui demande que le monde entier ait les yeux rivés sur cette affaire, donc nous, on est là pour la mettre en lumière et pour demander que la justice soit faite. » (Elsa Labouret, porte-parole d’Osez le féminisme !)

C’est un fait divers unique en son genre – un mari qui fait prendre sa femme par une cinquantaine d’inconnus, mais pas en même temps – qui déclenche des manifestations de mécontentes dans toute la France, comme si cela avait lieu dans presque toutes les alcôves.

« On est toutes Gisèle »

Comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de l’article, plus de mille manifestantes et manifestants étaient réunis à Paris, place de la République. À Marseille, plusieurs centaines de personnes – plus de 1 000 selon les organisateurs – se sont rassemblées devant le palais de justice accrochant une banderole « Pour que la honte change de camp ». À l’autre bout de la France, à Rennes, de 200 à 400 personnes arboraient des pancartes avec le même slogan ou « protège ta fille, éduque ton fils », « On est toutes Gisèle ». (HuffPost)

 

Les manifestantes ont extrapolé ce cas rarissime en violences généralisées contre les femmes, ce qui est quelque peu abusif. Elles ont sauté sans attendre sur les viols et les violeurs – si les viols sont avérés, ce qui reste le problème du droit – pour en remettre une couche sur tous les hommes. C’est de bonne guerre, mais ça peut être contre-productif.

Le journal Le Monde a dénoncé le RN qui se servirait des faits divers dans lesquels des Français se font poignarder par des racailles ou des migrants, afin de faire monter sa cote.

En réalité, le RN n’a pas besoin de ça, sa cote montant toute seule à chaque fait de délinquance commis par des étrangers ou des racailles (nous dirons des étrangers français), qui sont surreprésentés dans ce secteur d’activité. Il n’y a d’ailleurs, à ce propos, à part les marches blanches où justement le RN est persona non grata – les familles des victimes refusent toute récupération, surtout venant de la droite nationale – aucune exploitation publique du crime, dans la rue, comme nous le voyons avec la mobilisation pour Gisèle Pelicot.

La récupération qui est dénoncée par les médias mainstream dans les cas de délinquance sociale n’a soudain plus cours dans les cas de délinquance sociétale, ici sexuelle.

Chloé, dont la vidéo est reprise par le HuffPost, nous parle de « pop culture du viol », comprendre que la télé et le cinéma banaliseraient cette violence masculine pour la rendre cool, alors que c’est le contraire : les médias mainstream sont infestés par le woke, cette culture de la victimisation et de sa protection contre une violence fantasmée de la majorité (blanche, masculine et/ou hétérosexuelle).

 

 

Chloé, cette grande sociologue, a par exemple publié Pécho canards, un livre sur sa propre vie amoureuse. On a trouvé un résumé de cet ouvrage indispensable :

Poussée par ses amies, Chloé Thibaud part donc à la pèche aux c**nards qui l’ont aimée, blessée, intimidée, lui ont menti. Bref, tous ceux qui ont joué un rôle dans la (dé)construction de sa vie sentimentale et sexuelle, sans s’épargner pour autant.

Nous sommes toutes des Gisèle, quoi. Avec de telles défenseuses, le combat des femmes pour l’égalité n’est pas près d’être gagné.

 

Le vigile qui a sauvé Gisèle

Camille Anguenot, non, rien.

 






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43 Commentaires

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  • #3423641
    Le 16 septembre à 12:39 par One step beyond
    Oubliez "Je suis Charlie" : maintenant c’est "Je suis Gisèle"

    Une affaire particulièrement sordide mais qui vient fort à propos pour occuper le « temps de cerveau disponible » du petit peuple juste après les jeux olympiques et sa trêve « enchantée ».
    L’aspect le plus frappant dans cette histoire est la personnalité du mari, qui apparaît peu dans les médias et son corollaire, la non perception de cette personnalité monstrueuse par son entourage proche, épouse, enfants, famille. Avec un rappel de l’emblématique affaire Roman, et de la capacité d’individus profondément détraqués à donner le change.
    Cependant, comme pour l’affaire Dupont de Ligonnés, les merdias et le système woke fidèles à leur doctrine de chaos, exploitent l’affaire en terme de féminisme, de machisme et de racisme.
    Comme personnalités avariées, nous ne manquons pourtant pas de scélérats estampillés gouvernants, qui pillent le pays, le soumettent à l’hégémonie mondialiste, promeuvent le viol, le vol, les agressions physiques bien plus dangereux que le taré de cette affaire et qui bénéficient de l’aveuglement de millions de nos concitoyens.

     

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  • #3423652

    les femmes adorent se victimiser ...

    mais qui les protèges ? les hommes

    l’armee les crs etc... ce sont des hommes.

     

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  • #3423657
    Le 16 septembre à 12:57 par ProtégeonslaPalestine
    Oubliez "Je suis Charlie" : maintenant c’est "Je suis Gisèle"

    Comparaisons tirées par les cheveux, confusionnisme, assaut contre les indignations à géométrie variable des médias de grand chemin : que reste t-il, à l’arrivée, de cette traite d’être humain en situation conjugale ? Que dire de cet époux qui s’est constitué auto-entrepreneur de la vente forcée du cul de sa femme ?

    Les commentaires se trompent de cible et ne me semblent pas au niveau.

     

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  • #3423660
    Le 16 septembre à 13:02 par MAGESCAS
    Oubliez "Je suis Charlie" : maintenant c’est "Je suis Gisèle"

    Il faudrait peut-être leur dire à ces féministes que le sujet ne fait pas du tout débat. Tout le monde condamne ce Pélicot. Il n’y a pas de pour ou contre. Les hommes et les femmes sont dans le même camps.

     

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  • #3423667
    Le 16 septembre à 13:21 par mon nom est personne
    Oubliez "Je suis Charlie" : maintenant c’est "Je suis Gisèle"

    On ne se rend pas compte à quel point ces mouvements de chasse à l’Homme sont dangereux, tout ça parce que ça sert le Pouvoir en place par la division, et que donner un peu de pouvoir aux idiotes utiles que sont les bonnes femmes et autres minorités permet d’achever le ventre ( mou ) de la société ( les hommes ) qui aurait encore pu résister.
    Hier chez Hanouna témoignait l’actrice Frederique Bel, et on voit la perfidie vernissée de fausse innocence vertueuse de son discours quand elle dit que personne n’est puni, elle cite Arry Abittan, non lieu. Alors que de son propre aveu 6 films avec lui, irréprochable. Mais la meuf à l’air de vouloir qu’il soit condamné qd même parce que cloué au pilori de la plainte féminine.
    Elle se dit à l’origine silhouette à poil, et se plaint que des partenaires aient voulu la baiser…
    Elle dit que Depardieu tournait dejà plus avant le scandale mais il tournait beaucoup, films mineurs certes mais vouloir l’effacer ça participe de cet élan féministe conquérant et revanchard de mauvaise foi.
    Si Ppda était certes un gros dégeulasse, force est de constater qu’il avait des cohortes de poules qui faisaient la queue à son bureau pour passer sous le bureau, qu’il séduisait car omniprésent, écrivain, du pouvoir… a force de baiser des milliers de gourdes offertes le mec a cru comme Trump qu’il pouvait directement les choper par la ch…
    Le vice vient souvent de part et d’autre. Faire des femmes des anges, victimes permanentes, quelle supercherie !
    Combien de femmes comptent sur la promotion canapé pour réussir ? ( par paresse, goût, habileté, manque de talent), l’entente sexuelle est le premier levier d’echange humain depuis l’origine, avec la force et le fric.
    Tous ces arguments féministes ne visent qu’à déshumaniser les hommes, en faire des coupables à expier ad vitam aeternam, et on sait d’où vient ce modèle de haine éternelle/ universelle.

     

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  • #3423677
    Le 16 septembre à 13:44 par Jean dure
    Oubliez "Je suis Charlie" : maintenant c’est "Je suis Gisèle"

    Quelle société de dingos. Entre le mec qui fait tourner sa femme, et les féministes hystériques qui manifestent.
    J’admire les compatriotes qui survivent dans cet environnement sans perdre la boule.
    Ca me rappelle de rester à l’étranger.
    J’ai l’impression que ce genre de manifs c’est qu’en France. Je vis dans un pays occidental, il n’y a jamais ce genre de trucs.
    Ces manifestations ne servent évidemment à rien, mais elles sont habilement exploitées par les médias pour laver le cerveau de beaucoup d’autres qui vont se laisser convaincre que leur problème, c’est les hommes. Ces mêmes médias n’exploitent pas un tel fait divers qui implique une femme française victime d’un migrant, bien que ce type de faits divers soit beaucoup plus courant.

    En fait, la première chose à faire pour un politique sérieux qui vise le pouvoir, c’est de reprendre la main sur les médias. C’est la première chose qu’avait faite un chancelier célèbre.

     

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  • #3423704

    En tant que complotiste,
    je me pose toujours la question si ce que
    l’on me montre est vrai ou pas.
    L’état profond a toujours besoin de faire
    diversion sur ses turpitudes, et il lui arrive
    très souvent d’inventer des Story, avec
    beaucoup d’acteurs de crises dans le but de
    créer toujours plus de divisions et de luttes
    horizontales.
    Ça permet de ne plus parler des vax, de l’arnaque
    covid, de l’arnaque des dernières élections,
    de la retraite à 62 ans, de Mc Kinsey, du coffre
    de Benalla, de Chibritte, de l’illégitimité de
    Macron, des twitter files , du scandale
    Robert Koch institut en Allemagne, etc........
    L’histoire paraît crédible mais le viol sous drogue
    pendant une dizaine d’années j’ai peine à croire.
    L’arrestation dans un supermarché par un vigile
    parce qu’il filme avec son phone sous les jupes
    des femmes alors qu’elles ne s’en rendent pas
    compte me laisse perplexe.
    Et les images relayées par ParisMatch le journal
    officiel de la barbouzerie et enfumage en tout
    genre.

     

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  • #3423717
    Le 16 septembre à 15:04 par Phiddipidès
    Oubliez "Je suis Charlie" : maintenant c’est "Je suis Gisèle"

    "Nous sommes toutes Gisèle !"
    L’aveu involontaire d’un fantasme inconscient ?
    Ceci dit, même si le gars Pélicot et les gorets qui ont profité de la situation sont sans doute de belles ordures, je m’interroge sur le fait que madame ait pu être droguée pendant dix ans, jusque dans un état proche du coma paraît-il, sans que cela ne soulève le moindre doute dans son esprit lors des réveils que j’imagine plus que difficiles. Et je ne parle même pas des traces physiques inévitables consécutives aux relations sexuelles, y compris des infections sexuelles, ... forcément concomitantes aux réveils difficiles mentionnés supra ! Au minimum, la dame n’est pas très curieuse ou est très candide.
    Il paraît qu’elle aurait consulté son médecin qui n’a rien vu pendant dix ans ! Deux hypothèses, soit son médecin c’était Véran soit son médecin faisait partie des "clients" !
    En tout cas, à une époque où le moindre pet de travers implique moultes prises de sang ou autres analyses d’urine qui auraient forcément débouché sur la découverte du pot-aux-roses, tout cette histoire me semble, au minimum, bien incomplète !

     

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  • #3423733
    Le 16 septembre à 15:42 par leperigourdin
    Oubliez "Je suis Charlie" : maintenant c’est "Je suis Gisèle"

    Chaque crime ou délit commis par un caucasoïde est si cela est possible ultramédiatisé.

    Il s’agit simplement de contredire la réalité des faits statistiques. En même temps le système utilise la femme blanche à la fois pour hystériser et finalement dresser les femmes blanches contre les hommes blancs.

    Cette affaire sordide est l’arbre qui cache la forêt.

     

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  • #3423754

    Un proxénète humaniste drogue sa protégée pour lui épargner les inconvénients de sa journée de travail (mauvaise haleine des clients, corps disgracieux, eczéma, transpiration des pieds etc.). Après, comme tous les proxos, il relève les compteurs octroyant de quoi refaire sa force de travail à une travailleuse du sexe.
    Oui, mais là il ne s’agit pas d’une péripatéticienne majeure et consentante mais d’une épouse victime de violences répétées après avoir été droguée à son insu. Le droit sert donc bien de morale minimum à ceux qui n’en ont pas (doyen Pierre Truche). Je vais donc me promener dans la rue avec une pancarte : "Je suis proxénète", pour bien me désolidariser de cet infect époux et père de famille indélicat. Une autre chose qui m’arrache dans cette histoire de fou ; je n’ai jamais baisé de femme inconsciente et je n’en vois pas l’intérêt, pas plus qu’une poupée gonflable.

     

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