Pétition à l’attention
du Président de la République Française,
de la Ministre des Affaires sociales et de la Santé,
et de la Ministre de l’Education Nationale.
Monsieur le Président, Madame la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé, Madame la Ministre de l’Éducation Nationale,
Le Haut Conseil de la Santé Publique préconise, dans un avis relayé par la presse, le 15 Septembre 2014 :
- d’introduire dans les écoles la vaccination contre les papillomavirus (HPV) pour essayer de lutter contre le cancer du col de l’uterus et d’autres infections sexuellement transmissibles ;
- d’abaisser si nécessaire à 9 ans l’âge de la vaccination, pour les filles comme pour les garçons.
Cette proposition suscite une très vive émotion des citoyens et du monde médical.
Nous sommes très nombreux à redouter que nos écoles servent de paravent pour vacciner les enfants en masse contre les HPV, sans réelle réflexion individuelle ni information transparente sur l’efficacité et la dangerosité de ce vaccin.
Rappelons que l’analyse des données de pharmacovigilance a fait état de 26 675 effets indésirables graves dont 113 cas de sclérose en plaques en lien avec ces vaccins.
Rappelons également que le seul moyen démontré de prévenir le cancer du col de l’utérus est de faire des frottis. Si des lésions précancéreuses sont trouvées, elles peuvent alors être soignées.
Le vaccin, lui, ne protège pas à 100 %, loin de là. Toutes les sources médicales s’accordent sur ce point. Il est très dangereux que les personnes vaccinées aillent imaginer le contraire.
Par la présente pétition, nous vous demandons donc de stopper le projet de vaccination de masse dans les écoles contre les papillomavirus :
- tant qu’une efficacité raisonnable du vaccin n’aura pas été démontrée ;
- tant que les effets secondaires du vaccin ne seront pas connus et maîtrisés ;
- tant que la garantie ne sera pas donnée que ces vaccinations massives ne réduisent pas la vigilance préventive (frottis), seul moyen prouvé de prévenir le cancer du col de l’utérus.
Cela permettra d’éviter d’inutiles accidents et des souffrances considérables à de nombreux enfants. Vous contribuerez ainsi également à maintenir la confiance des parents et la nécessaire sérénité dans les écoles.
Veuillez agréer Monsieur le Président de la République, Madame la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé Publique et Madame la Ministre de l’Éducation Nationale, l’expression de mes salutations respectueuses.