D’un côté, je trouve ça douteux de proposer l’esquisse de référendums dans une Europe oligarchique qui impose quoiqu’il en soit ces propres vues et logiques ?
De l’autre, que ce soit une élection ou un référendum, rien ne peut plus empêcher nos nations de conscientiser l’importance de leur permanence. Il serait même criminel de pacifier cet éveil, cette résurgence des patriotismes, des monnaies et des frontières.
Alors de deux choses l’une, Monsieur Farage ne veut pas de changements. Cette Europe lui convient à quelques détails près. Un peu à l’image de son Commonwealth avec son armée Atlantique, sa monnaie, son Libéralisme et ses frontières naturelles. Elle l’installe dans ce rôle honorable de parlementaire turbulent et agité, sans jamais s’engager dans l’efficacité politique. Cette démarche d’ailleurs lui inspire laideur et obscurité. Oui mais pour qui ?
Le plus drôle dans tout cela est qu’il offre ces facétieux conseils au président de la commission, comme si cette serpillière qui nous sert de plus haut représentant, devenait tout d’un coup un allié à chérir ? La réaction de ce dernier n’en est pas moins révélatrice.
Après tout, il est fort possible que le scénario de Référendums fantoches en vue de temporiser l’inévitable, soit l’objet de vifs débats à l’intérieur de toutes ces messes basses de Trilatérale, Bilderberg et autre C.F.R, ? Ce qui expliquerait l’agacement de notre tout puissant Maître.
La proposition de M.Farage ne s’écouterait-elle pas à demi-mots ?
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