Nice n’entend pas satisfaire à une demande de la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire (SDAT) d’effacer près de 24 heures d’images de la promenade des Anglais pendant et après l’attaque du 14 juillet, a annoncé jeudi l’avocat de la ville.
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Jeudi, l’avocat a donc écrit à la SDAT pour lui faire savoir que la ville n’entendait pas, en l’état, satisfaire cette réquisition, qui concerne les images recueillies par toutes les caméras de vidéosurveillance ayant vue sur la scène de crime.
Dans ce courrier, dont Reuters a eu copie, il indique que les données seront en principe automatiquement effacées à compter de dimanche soir, comme le prévoit la loi.
Me Philippe Blanchetier précise toutefois à Reuters qu’il compte saisir le procureur de Nice et le président de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) d’une demande de conservation de ces données au-delà de la durée légale.
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