Hier, un ramas de bougresses en proie à la fureur utérine et de grenasses en bonnet phrygien, entrelardées de gredins d’extrance douteuse et de sexe indéterminé, ont profané la statue de Marianne, place de la République, en la noircissant avec un voile de deuil.
En tout une cinquantaine de drôlesses et de traîne-nikes, mais protégés par cinq fois plus de forces de Police.
L’association néo-conservatrice et féministe qui répond au nom gracieux de Ni Putes Ni Soumises (NPNS), naquit dans quelques cervelles malodorantes du PS, afin d’exciter la lumpen-pétasse de banlieue contre son "macho" de mec, diviser pour régner.
C’est toujours la même naissance policière et artificielle de ces saloperies d’assoces, grassement entretenues par les pouvoirs publics, bénéficiant de locaux, de prébendes et d’une médiatisation outrancière eu égard à leurs effectifs réels, et qui ne sont pas seulement une gale agaçant le corps de la République mais des officines supplétives de l’Impérialisme.
De la même manière qu’ils avaient appelé "au secours LE RACISME !", en créant à l’Elysée dans le Bureau de Bianco le SOS machin et "touche pas mon prose", dans les années 80, afin de déchaîner la haine des immigrés contre la classe ouvrière française trahie, les Julien Rolex et autres Amarra d’égout appelèrent à la rescousse en 2002, les plus soumises et les plus putes des deux sexes pour émasculer la révolte naissante des jeunes lascars des banlieues.
Sur SOS racisme : "Juju (julien Dray) avait placé à la tête de SOS des membres de l’UEJF (Union des étudiants juifs de France), ultra-sionistes pour la plupart et très provocateurs. L’UEJF qui, pourtant n’avait aucun projet et ne s’intéressait à aucune action antiraciste monopolisa SOS. Le recrutement des beurs au sein de SOS s’avéra un vrai casse-tête et tournait carrément au casting. Il fallait que les beurs sélectionnés ne soient pas politisés et fassent « banlieues », ou, si ce n’est pas possible, il convenait de les choisir parmi les fidèles du PS d’Ile-de-France." Extrait de "Histoire secrète de SOS racisme" par Serge Malick, un dirigeant historique de l’Assoce à la petite main jaune.
On retrouve à peu près le même schéma pour Mi pute Mi soumise. Son ancien secrétaire général Mohammad Abdi avec la bénédiction de sa présidente Amarane, s’est affilié au très extrémiste de droite sioniste Cercle de l’Oratoire.
Ce cercle tourne autour de Michel Taubmann, André Glucksmann, Romain Goupil, Cécilia Gabizon, Elisabeth Schemla, Pierre-André Taguieff, Frédéric Encel, Antoine Basbous, ainsi que l’Alexandre-de-fosse-d’aisance Adler, etc. Tous gens de médiat, supporters fanatiques d’Israël et néo-cons définitifs. Ils ont été les plus ardents défenseurs de la guerre en Iraq, ils soutiennent aujourd’hui la guerre des narco-trafiquants en Afganistan et ont applaudi lors des carnages à l’uranium appauvri et au phosphore blanc perpétrés par les Israéliens à l’encontre des palestiniens de Gaza.
Ainsi, lorsque les Putes Soumises au Cercle de l’Oratoire recouvrent la statue de la République à Paris d’une burqa noire géante, soi disant "afin de protester ce qu’ils estiment être un retard pris dans le vote d’une loi interdisant la burqa dans les lieux publics", c’est surtout parce qu’ils s’inscrivent dans le cadre frelaté de l’artificielle guerre des civilisations.
« Nous avons souhaité dénoncer l’intolérable, nous demandons à ce que la question de la loi sur la Burqa ne soit pas enterrée », a déclaré à l’AFP Sihem Habchi, la hideuse présidente de NPNS. Laquelle, bien sur, sera reçue lundi à l’Elysée, tout comme 4 autres responsables d’associations "du collectif national pour les droits des femmes", qui ne représentent qu’elles mêmes. Cette petite camarilla subventionnée par nos impôts et protégée par la flicaille, arborait en outre samedi, place de la République, des pancartes où l’on pouvait lire : « service public = avortement et contraception », ben voyons, ou bien « raser mes jambes oui, raser les murs non ». Ce qui est sur c’est qu’on rase les murs du çon !
Ces choix constants d’appellations grossières, de slogans un poil douteux, frisant l’indécence, révèlent la saleté morale de ces personnes peu ragoûtantes. « On se bat pour un féminisme populaire, un féminisme d’urgence, car l’IVG est attaqué, notre corps est attaqué dans l’espace public par les obscurantistes » a récité l’Habchi haute.
Par les obscurantistes, vraiment ?
Je lisais récemment dans une tribune publiée il y a quelques mois dans Le Monde, que des médecins et des "militantes de la Coordination des associations pour le droit à l’avortement et à la contraception expliquaient : « Aujourd’hui la principale menace contre le droit à l’avortement ne vient plus de ses traditionnels opposants religieux, mis politiquement à genoux, mais du démantèlement de l’hôpital public. »
"624 au lieu de 729 établissements pratiquant les IVG en France, baisse imputable aux "plan de regroupement des 38 hôpitaux de l’AP-HP en 11 « territoires de santé », voté par Jean-Marie Le Guen, président suppléant du conseil d’administration de l’AP-HP et député PS." "Comment prétendre garantir un accès égal quand on ferme les centres IVG les uns après les autres, quand on ferme des lits et des hôpitaux, quand on remet en cause le droit à la santé."
Quelle que soit notre opinion, quant au fond, sur ce prétendu "Droit" d’avortement, force est de reconnaître que ces gens là ont au moins l’honnêteté de s’en prendre aux vrais responsables de la reduction de l’accès aux soins dans tous les domaines, c’est à dire à la loi Bachelot, aux élus PS qui la votent et à l’Union Européenne qui l’exige. Ils faut dire que ces médecins et soignants n’ont en vue que la défense des intérêts matériels et moraux, réels, de la population laborieuse, cependant que les NPNS sont des serviteurs à gage des nantis, des P. respectueusement soumises aux cercles les plus extrémistes de l’Oligarchie.