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Manuel Valls nommé Premier lèche-cul d’Emmanuel Macron

Au premier rang, Champ-de-Mars à Paris, devant le pupitre présidentiel, on retrouvait bien sûr des ministres du gouvernement de Jean Castex, présent lui-aussi, des proches du président dont François Bayrou et son ancien Premier ministre Édouard Philippe, mais aussi, plus surprenant, Manuel Valls. Les deux hommes étaient du même gouvernement dirigé par ce dernier sous la présidence de François Hollande, du 26 août 2014 au 30 août 2016, date de la démission d’Emmanuel Macron alors ministre de l’Économie. Longtemps les relations entre les deux hommes ont été fraîches. Ainsi, en juin 2017, alors qu’Emmanuel Macron venait d’être élu président de la République, il avait eu des mots amers. Le jour de la passation de pouvoir, il avait ainsi déclaré au Journal du Dimanche qu’il était « méchant ». « Je suis extrêmement lucide sur Macron et sur son équipe. Hollande est méchant, mais dans un cadre. Macron, lui, est méchant, mais il n’a pas de codes donc pas de limites », affirmait le 14 mai 2017 le député PS de l’Essonne, avant, en juin de la même année, rejoindre le groupe LREM à l’Assemblée nationale. (Paris Match)

 

On va finir par l’appeler Ouah Ouah, ou Ouaf Ouaf. L’ancien Premier ministre Manuel Valls, qui passe de la gauche à la droite avec l’aisance d’une anguille, ou d’un serpent, a fait des pieds et des mains pour revenir en grâce dans la macronosphère.

 

Ce n’est pas vrai que Manu (Valls, pas Macron) est un traître professionnel : il n’a jamais trahi le CRIF ! Quoique, et c’est Emmanuel Ratier qui le démontre, ce socialiste avait commencé dans le pro-palestinisme. Ensuite, ambition oblige, il s’est coulé dans le moule de la « République », c’est-à-dire des contraintes imposées par le lobby sioniste et la franc-maçonnerie. Là, on ne parle plus ni de droite ni de gauche, mais de pouvoir réel, celui de l’Argent, de la Banque, de la Dette. Et de la violence sociale.

 

 

Depuis son coup de foudre pour Macron – ou pour le pouvoir –, Manu ne dort plus : pas un jour où ce Tullius Détritus ne chante les louanges du Président. Naturellement, sur les réseaux sociaux, il est devenu un mème.

 

 

Déjà, après 2007, Valls avait été approché par Sarkozy pour devenir ministre de l’Intérieur de « l’ouverture »... Aujourd’hui, son fond de commerce d’agent mobile du pouvoir profond se confirme. À gauche, il est soit détesté, soit ignoré.

 

 

À droite aussi, même chez les macronistes, on se fout de sa gueule :

 

 

Pour l’élection du meilleur fayot quémandeur, il y a photo au finish entre Valls et Estrosi.

 

 

Les années de sang

 






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