Avant, il y avait les séminaristes, qui exerçaient une fonction sociale (pastorale ou humanitaire) pendant leur « stage » (on n’a pas le vocable exact) au sein de la population, en général des pauvres ou des malades. Aujourd’hui, on a les communautaristes, dont la fonction consiste à harceler la majorité pour lui soutirer de l’argent – en guise de réparations – ou du pouvoir.
Le problème des communautés – juive, LGBT, féministe ou antiraciste –, c’est que leurs représentants se comportent comme des dirigeants politiques de premier plan, alors qu’ils sont minoritaires dans la population. Encouragés par les médias qu’ils ont infiltrés à la trotskiste, ils exercent progressivement leur tyrannie. Généralement dénués d’autorité personnelle, ils sont néanmoins accusateurs et procéduriers, ce qui signe la faiblesse de leur argumentaire.
Parfois, ils attaquent même sans raison, uniquement pour exister, grâce à leurs relais dans la culture ou la presse. Leur stratégie d’occupation médiatique est calquée sur les campagnes d’image des grandes marques, qui doivent rester présentes dans l’esprit du grand public. Une fois que les affiches Coca-Cola sont partout, jusque dans le désert, en cas de soif, notre esprit réclamera en premier lieu et instinctivement un coca.
Juif, homo, racisé et femme sont devenus des métiers
Tu fais quoi dans la vie ? Je suis femme. Et toi ? Homo. Moi je suis lesbienne, un emploi doublement rémunérateur. Sauf que...
Nous ne sommes pas tenus d’accéder aux demandes exagérées d’un « racisé » parce que ses ancêtres ont été persécutés au XIXe siècle par des colonisateurs français.
Nous ne sommes pas tenus d’accéder aux demandes exagérées d’une femme parce que son patron ne la paye pas ce qu’elle estime valoir, depuis qu’elle a lu dans Elle qu’elle était victime d’un racisme de genre, ou parce qu’elle prétend que son ex était un pervers narcissique.
Nous ne sommes pas tenus d’accéder aux demandes exagérées d’un juif parce qu’il se présente comme l’intouchable d’une vague association qui vit de la rente d’État et du résultat de persécutions judiciaires, sous prétexte que ses ancêtres sont morts dans les camps, alors que les nôtres sont morts à Verdun et qu’on n’en fait pas un plat quotidien. Venez voir les 3 400 nécropoles où reposent 1 200 000 militaires français tombés au service du pays (ou de l’oligarchie) en 14-18... Ça vaut bien un Auschwitz.
« Au total, près de 43 000 corps gisent ici »
Enfin, nous ne sommes pas tenus d’accéder aux demandes exagérées d’un homo parce qu’il a malheureusement été chahuté dans la cour de récré à 11 ans, qu’il est mal dans sa peau( on l’est tous plus ou moins), qu’il trouve que les hétéros sont coincés de ne pas être homos, et que son job consiste à faire l’attaché de presse d’une grande entreprise qui a trop peur de passer pour homophobe.
Pour compenser leur faible poids démographique, ces communautés font acte d’agressivité, pas les individus qu’elles représentent ou disent rassembler mais leurs représentants, qui menacent les Français non communautarisés du matin au soir. Le peuple travailleur et discret n’en peut plus de ces accusations perfides et mensongères destinées à entretenir la victimisation et le jackpot des réparations. Nous sommes devenus leurs bateliers ! On rappelle à tous ces dirigeants auto-élus qu’une telle injustice a mené à 1917.
Nous vivons sous le régime des sanctions permanentes de ces communautés qui dénaturent la démocratie dans un pays qui a d’autres chats à fouetter que le féminisme, l’antiracisme, l’antisémitisme ou l’homophobie. Dans le quotidien d’un foyer français, ces quatre concepts élastiques falsifiables à l’envi ne pèsent rien. Quant à la transphobie, cette discrimination imaginaire, les gens s’en tamponnent, mais alors d’une force... C’est bon signe pour les trans, d’ailleurs, qui semblent parfois mendier une discrimination.
Un cas de chômage trans
Les petits malins à la tête de ces associations, par définition impopulaires, feraient bien de se trouver un vrai boulot plutôt que de parasiter le trésor national et des médias, qui sont bourrés d’infiltrés, qui d’ailleurs ne se cachent plus. C’est bien simple, dans les médias mainstream, plus personne ne représente la majorité, qui est obligée d’avaler la propagande de la Bande des Quatre du matin au soir. C’est seulement dans les médias non alignés qu’on retrouve un juste équilibre de représentation nationale.
Sopo et son racisme, Korsia et son antisémitisme, Fourest et son sexisme, Jolly et son homophobie, tous nous couillecassent (verbe issu du vieux françois) avec leur obsession nombriliste, essentialiste, et, au fond, raciste. Qu’ils sortent de leur enclos, de leur ghetto, qu’ils aillent, à la manière des séminaristes, vers les autres au lieu de les accuser à tort et à travers, afin de justifier leur activité douteuse et leur surprésence médiatico-politique.