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Femmes en politique : y a de la bonne et de la moins bonne

Ce vendredi 30 mai 2025, comme chaque jour que Dieu fait, nous pêchons nos poissons sur X. Dans notre seau, une dizaine de déclarations de femmes en première ligne du front politico-médiatique. Nous n’avons pas fait de choix préalable, n’avons eu aucune intention belliqueuse ou moqueuse, mais au milieu de tous ces poissons, à la lecture de l’ensemble, un invariant s’est dégagé. Réalisé sans trucage.

 

Yaël Braun-Pivet, malgré son léger retard mental, est présidente de l’Assemblée nationale. Ici, on dirait qu’elle s’adresse à des enfants, mais des enfants retardés, nous. Logique, vous direz.

 

 

Anne-Sophie Lapix, madame Sadoun à la ville, quitte la présentation du journal de 20 Heures de France 2. Toute la presse s’en est émue, on se demande bien pourquoi. Virée, elle laisse libre court à son bonheur, à sa liberté retrouvée. C’est ça, l’information en France : du divertissement.

 

 

Marlène Schiappa, responsable du PatyGate, cet argent public refilé à des escrocs sous prétexte de lutte contre le djihadisme, aurait pu apparaître à la fin dans un feu d’artifices. Sa défense de la Première dame mérite d’être consignée dans la sonde Voyager.

 

 

Nous parlions de première dame, la voilà donnant un cour de français. On sent la passion, la vocation, et la féminité. Même notre amoureuse, nettement plus jeune que Brigitte, n’a pas des seins aussi tendus. On applaudit l’exploit. Et surtout, on y croit.

 

 

En visite au Kenya, la puissante Anne Hidalgo, maire de Paris jusqu’en 2026, malheureusement pour ses administrés, pousse la chansonnette. Il n’est pas interdit de chanter, quand on est une femme politique, mais dans ce cas, il faut chanter bien. Une ligne de plus dans son CV désastreux.

 

 

L’ambassadrice d’Israël à Londres fait pourtant face à un journaliste sioniste de droite, mais même lui passe de l’autre coté. Le mensonge grossier, immonde, ne suffit plus à masquer le crime, abominable.

 

 

Un cran en dessous et de l’autre côté du Channel, Barbara Lefebvre lance une grande campagne de malformation de l’esprit de nos enfants au sionisme criminel. Quelque chose nous dit que dans les collèges et les lycées farcis de têtes brunes, ça risque d’être mal perçu, mais on ne veut pas décourager la nétanyahiste de choc.

 

 

La dernière, la meilleure, la numéro un, c’est toujours Sardine, reine de la boulette et du buzz négatif, qui à elle toute seule a tué l’écologie de gauche. Dommage pour ceux qui défendent la Terre et qui ont du talent.

 

 

Pour montrer à notre lectorat féminin qu’on ne tombe pas dans le piège de l’amalgame facile, voici maintenant deux filles qui tiennent la route.

Récemment, Macron se vantait de la première place française quant aux investissements étrangers, ces puissances financières qui choisissent la France. Élise nous explique que la réalité est un peu moins prestigieuse.

 

 

Christine Anderson, c’est notre député européen préféré : comme Virginie Joron, elle ne lâche pas le steak en mordant le cul des euroligarques et autres eurotyrans. Ici, elle affiche cette ordure de Merz, la marionnette des mondialistes qui veulent mettre l’Europe à feu et à sang.

 

 

Conclusion : les femmes sont sexy quand elles combattent.

 

Ah, les femmes

 






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38 Commentaires

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  • #3537100

    Dans la catégorie le retour des morts vivants, on avait déjà eu droit aux morts votants, nous avons désormais une nouvelle entrée dans ce répertoire ô combien spécifique : les morts qui portent plainte et qui se constituent partie civile. Un esprit chagrin , versé dans l’art du complotisme ferait noter, non sans une certaine espièglerie, que cela commence à faire un certains nombre de défunts dans cette histoire : en premier lieu, feu le cocu et maintenant le frangin.
    Je confesse avoir été pris d’une certaine angoisse en déroulant l’article car je n’y voyais pas apparaitre la sardine, il est vrai qu’il y avait des orfèvres juste avant, au final, me voilà rassenéré, tout le monde y est ou presque. La caque sent toujours le hareng et bon sang ne saurait mentir.

     

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  • #3537110

    Ça me ferait bien mal que les jeunes arrivent à répondre aux questions de Barmitza Lefèbvre. Ils ne connaissent déjà plus grand chose sur l’histoire de France.
    Jamais dans toute ma scolarité, Israël n’a été abordé. La seule fois que j’entendais parler d’Israël, c’était au catéchisme. Mais encore une fois, jamais le mot juif a été utilisé. On disait Hébreux. La première fois que j’ai entendu le mot juif, sans trop savoir exactement qui ça nommer exactement, c’était seulement en 3eme pendant les cours de la Seconde Guerre mondiale.

     

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  • #3537112

    La poitrine de Bribri ne me choque pas, le silicone faisant des miracles. Par contre, c’est quoi ses épaules et cette carrure ? J’ai l’impression de regarder un remake d’Un Flic à la Maternelle avec Schwarzenegger.

     

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  • #3537119

    La Marlène ne connaît pas ses dossiers !
    Elle prends des airs de vierges effarouchés en exagérant les faits ou les situations. Il lui est plus facile de crier au loup pour se donner l’impression d’argumentation.
    En analysant son discours, on s’aperçoit qu’il n’y pas d’idée, ni de fond. Et que le sujet n’est pas maîtrisé.

    Brigitte* a bien un frère décédé. Il s’agit de Jean-Claude Trognieux, mort à 85 ans en 2008.
    Marlène n’a pas saisie la subtilité de l’information.
    (*non d’emprunt)

     

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  • #3537129

    Quel choc, la nouvelle apportée par Marlène Schiappa, Jean-Michel Trogneux est mort !

     

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  • #3537172
    Le 31 mai à 15:25 par Le Dieu du Schnaps
    Femmes en politique : y a de la bonne et de la moins bonne

    Le sexe n’est pas un caprice, c’est une programmation. Une pulsion logée au cœur du cerveau, plus ancienne que la raison, plus forte que la morale. L’homme désire. Il craque devant la courbe d’une hanche, la douceur d’une peau, la présence du sexe féminin comme on cède à un appel impérieux. Ce n’est ni honteux ni sacré, c’est réel. Brut. Inévitable.

    L’inverse, mutatis mutandis, est tout aussi vrai. Le feu brûle des deux côtés du miroir.

    Ulysse, pourtant maître de lui, dut se faire lier pour ne pas répondre au chant des Sirènes. Il savait que le désir abat la volonté. Il avait compris que même l’intelligence ploie devant l’appel du corps.

    Dura sex, sed sex.

    Le jeu de mots est obscène. Et alors. La maxime romaine disait : Dura lex, sed lex. La loi est dure, mais c’est la loi. J’ose une variation, car le sexe est lui aussi une loi. Non écrite, mais gravée. Il gouverne. Il tranche. Il échappe.

    La loi veut dompter le sexe. Le baliser, le punir, le soumettre. Elle s’y casse les dents. On réglemente les bordels, on condamne les écarts, on légifère sur les fluides et les fantasmes. Vaine entreprise. Le désir ne se range pas en articles.

    Le sexe est hors-la-loi par essence. Il désobéit. Il transgresse. Il déchire les costumes, renverse les dogmes, ridiculise les prêches. Il est le poing fermé contre l’ordre, le rire du corps contre les chaînes de la vertu.

    Et pourtant, il ne détruit pas. Il révèle. Il libère. Il unit. Il crée. Le sexe est une insurrection qui donne la vie. Voilà sa gloire.

    Je ne parle pas de l’abus, ni du viol, ni de la domination. Ceux-là relèvent du crime, non du désir. Je parle du feu juste, du consentement souverain, du vertige partagé.

    On peut bien lui jeter des pierres, l’appeler péché, le noyer sous la honte. Il revient. Toujours. Il est le diable dans l’ombre des sacristies. Il est la vérité sous la robe du juge.

    Dura sex, sed sex.

    Même rude, même indomptable, le sexe reste la dernière liberté. Et ceux qui veulent l’éteindre finiront consumés.

     

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  • #3537243

    Mais arrêtez donc d’embêter cette pauvre Sardine, c’est déja assez compliquée l’histoire de l’économie, avec ses dates et ses principes...Si en plus il faut les retenir dans l’ordre, notre pauvre Sardine vous allez la mettre en pls...

     

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  • #3537254
    Le 31 mai à 22:44 par miles davis
    Femmes en politique : y a de la bonne et de la moins bonne

    Que des emplois fictifs, en fait. Le partage du magot, en nous dépouillant, et le tapin pour Israël...

     

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  • #3537256
    Le 31 mai à 22:51 par Sociopathe
    Femmes en politique : y a de la bonne et de la moins bonne

    Mettre en avant les gourdasses doit être une stratégie d’humiliation tout en faisant monter notre misogynie, c’est bon pour l’oligarchie ! Les qualités humaines, chez les hommes et femmes sont rares et plus dures a détecter que la connerie malheureusement. Pardonnez ma misanthropie, c’est difficile d’aimer ses semblables parfois.

     

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  • #3537266
    Le 31 mai à 23:30 par break even
    Femmes en politique : y a de la bonne et de la moins bonne

    Le bal des vampires... vente de l entreprise francaise qui produisait les billets de banque... juger inutile ah bon ? mais qui est interessé de l acheter cette entreprise soit disante en faillite ?

     

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