Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Les femmes à la cuisine, d’accord, mais pas comme ça !

On le sait tous, si on a un peu d’expérience, la mayonnaise ne retourne jamais dans son tube. Une fois que c’est sorti, c’est sorti. Sauf les saumons qui remontent le courant, mais on ne va pas compliquer la démonstration.

 

 

Depuis que les femmes ont découvert le féminisme, en 1975, l’équivalent du feu pour elles, impossible de les remettre au turbin à la maison : elles préfèrent aller au turbin au dehors et ramener de la plata. C’est de bonne guerre. On aurait dû les payer à rester à la maison et on n’aurait pas eu tous ces problèmes. Elles n’auraient pas découvert le patron, l’amant, les soirées entre copines et toutes ces occasions de chute.

Depuis, le couple boite, la famille explose, la société s’écroule. Tout est de la faute du féminisme, cette idée folle qui a retourné la tête des femelles. Aujourd’hui, elles ont du toupet, elles nous répondent !, parfois même elles refusent de coucher. Hallucinant.

Sur l’image en tête de l’article, au lieu de faire à manger pour son mari, la jeune femme glande sur une chaise, les pieds sur la table, bonjour l’hygiène, un verre de blanc à la main. Et ce regard de défi... Il ne manque plus que la cigarette, et le tableau sera complet. Qui veut d’une épouse pareille, carrément indomptable ? Où sont les épouses d’antan, gentilles et soumises, qui ne rechignaient pas à la tâche, à la cuisine et au lit ? Même les tradwifes c’est du bidon. Une fois la photo sourire avec le mari terminée, elle l’engueule comme du poisson pourri.

La seule fois où on a vu une femme à la cuisine, c’est quand une commerciale blonde glaciale de chez Poggenpohl nous a toisés du regard, du fond de sa boutique.

 

 

Le luxe, c’est ce qui traverse le temps, on oublie les cuisines de pauvres, on garde les lignes et les matériaux de celles des riches, avec ces blocs de pierre, l’acier brossé, le bois noble. Ce qui a de la valeur, c’est ce qui traverse, ou qui contient du temps. La valeur, au fond, c’est ce qui dure. Le couple, sous les assauts de toutes les tentations de la consommation de l’autre, peut-il durer ? Vous avez quatre heures.

Le grand cocaïnologue Beigbeder avait conclu, après une étude scientifique sérieuse entre deux mannequins ukrainiens, que l’amour durait trois ans. Or, on connaît des couples qui sont depuis trente ou quarante ans ensemble. Cependant, ils se haïssent parfois, donc l’amour dure bien trois ans, et après c’est autre chose : l’habitude, l’indifférence, le ressentiment, et parfois, malheureusement, la haine et la guerre. Ce qui est une autre façon de rester ensemble, car on ne sait jamais sur qui on va tomber ailleurs.

 

 

Doit-on laisser tomber l’épouse des mauvais jours qui a pris trente kilos en trente ans, pour une de trente ans et trente kilos de moins, sachant qu’elle va immanquablement finir pareil ?

En même temps, on a pas 35 vies comme les chats, donc on peut toujours renouveler le stock. Mais pour cela, le renouvellement, il faut de l’argent : jamais une jeune n’ira avec un désargenté, encore moins s’il est vieux. Finalement, on se dit que l’amour, c’est pour les riches, uniquement.

 

 

La vie de couple, c’est comme le foot : avant, tout marchait sur des roulettes (en apparence), et puis il y a eu l’arrêt Bosman, le néolibéralisme appliqué au monde du foot, traditionnel s’il en est. Soudain, on pouvait faire des transferts dans tous les sens, mélanger les torchons et les serviettes.

Les équipes d’antan étaient fidèles à une ville (Auxerre), une région (la Corse), une extraction (les prolos de Liverpool et de Saint-Étienne), une langue (le bavarois), un enracinement (les Portugais de Pontoise). Désormais, on peut trouver une épouse – une bonne joueuse ! – au bout du monde, si on y met le prix.

 

 

Comment réussir son couple

 






Alerter

45 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #3553507

    Beigbeider a écrit "l’amour dure trois ans" parce que le pauvre gars n’a pas pigé que c’est le désir qui ne dure jamais et que les jeunes amoureux (femmes et hommes confondus) prennent pour les sentiments d’amour.

    Si nos arrières grands-parents faisaient des fiançailles (2 ans, justement !), c’était précisément pour éprouver leurs sentiments réels et, très important, leur compatibilité érotique ! On peut trouver une femme ou un homme séduisant(e) et une fois au plumard, ne pas supporter le contact. C’est même assez fréquent et ça engendre les ruptures rapides.

    le féminisme censé avoir sorti les femmes les a en réalité transformées en imitations, souvent grotesques, des hommes. Il n’en a libérées aucune, on le sait, on a compris la manipulation des Barneys & C°.

    L’invention de l’amour romantique vient de l’Occident. Clouscard à écrit "Traité de l’amour fou", ça avait de la gueule, mais les valeurs rappelées dans ce petit ouvrage pertinent ont totalement disparues au profit de la pornographie-pour-tous. On canalise la libido des presque pauvres "grâce" à ça.

    On n’enseigne pas l’alchimie de l’amour dans les nouvelles écoles mais la pornographie, et de préférence celle de l’inversion et du LGBÊtise pour tous. Ça fait des dégâts et les filles en sont les premières victimes. C’est fait pour, mais ne demandez pas à des dindonnettes de l’année de se cultiver... nan, elles veulent faire comme les hommes en tout.

    Résultat, on fait dans la bouffe avec des plats réchauffée, on essaie (en vain) de faire le "papa" à la maison quand ce dernier n’y est plus, on travaille (au sens de tripalum !) comme une esclave mais vêtue en "manageuse" corvéable, on veut des lardons mais tardivement et avec l’aide de la techno médicale, on veut se balader partout à moitié à loipé mais ne jamais être abordées autrement qu’avec des élégances !

    Le monde occidental marche sur la tête parce qu’il est le coeur nucléaire du Grand Renversement Sociétal. L’inversion de tout et pour tous est l’oeuvre du prince des ténèbres qui a pris le pouvoir.

    Soit on se remet debout, tête et coeur purs, soit on disparait. Pour le moment, on est mal barré...

     

    Répondre à ce message

    • #3553579
      Le 15 août à 16:15 par Ferdinand
      Les femmes à la cuisine, d’accord, mais pas comme ça !

      On se lasse vite
      Au Paradise de la Junquera, plus grand bordel d’ Espagne, on prend 4 ou 5 fois la meme, et comme on en a fait le tour on en change pour une autre...

       
    • #3553704

      Réponse Ferdinand de à 16:15 :`

      Bonne remarque... je crèche pas loin de la Junquera et non seulement le marché des putes est toujours actif, mais tenez-vous bien, la plupart des filles qui déambulent sur les bords de route quasiment en string et juchées sur des talons de grosses tatanes viennent.... de l’Est, dont pas mal d’Ukraine !

      La prostitution semble bien une fonction indépassable de toutes les civilisations connues... La nôtre à eut le "génie" de considérer ça comme une fonction normale alors qu’elle n’est que le symtôme d’un type de société humaine malade.

       
    • #3553953

      Il y a une vingtaine d’années il y avait des dizaines de jeunes prostituées Nigerianes a la Junquera . 20 euros au bord de la route . Et puis le séfarade Moreno fit construire le Paradise et curieusement la police interdit aux Nigerianes de continuer à travailler ! Au Paradise c’était 3 fois plus cher donc il fallait éliminer la concurrence . Collision d’un super maquereau et des flics . Il y a quelques années a la Junquera je me suis fait chopper avec une demoiselle . Je me retrouve au commissariat : le flic me laisse le choix : 300 euros en espèces et sans reçu ou le tribunal, j’ai préféré raquer .

       
  • #3553512

    Moi aux putes plus de problèmes , ça revient au même prix......

     

    Répondre à ce message

  • #3553531
    Le 15 août à 11:54 par Alençon
    Les femmes à la cuisine, d’accord, mais pas comme ça !

    les femmes qui cuisinent (de la cuisine française) , tu ne les rencontres pas/peu au supermarché , mais plus à la boucherie , poissonnerie , marchand de légumes , voire sur le marché.. mais par contre , adieu talons hauts , taille fine et chemisier transparent , la cuisinière est un bricoleur amateur (des fois aussi forte ou meilleure que les pros) indoor , il va être difficile de trouver des pin-up expertes dans les cuisines "grasses" .

    Mais pour faire bonne mesure , il faut voir le niveau actuel d’ aisance et de débrouillardise des Zhommes de la ville relâchés en pleine nature -c’ est 1 sujet en soi , donc je ne vais le développer- , y’ a pas de quoi fanfaronner.. au contraire ; )

     

    Répondre à ce message

  • #3553532

    Les femmes qui préfèrent travailler que de garder leurs gosses à la maison c’est une conséquence de la fin de la famille élargie et du début du règne de la famille mononucléaire. On voit que vous êtes bien des mecs à ne jamais avoir garder des enfants plus d’une journée seuls à la maison ( ou sans aucun enfants ?) pour rendre la femme responsable de tous les maux de la société. Peu de femmes sont capables de rester saines d’esprit à ne parle qu’à des enfants toute la journée sans aucun contact avec d’autres adultes que leur mari.

     

    Répondre à ce message

    • #3553547

      Votre imagination vous joue des tours, vous ne savez manifestement pas grand chose de la vie d’un homme . Les femmes qui préfèrent bosser plutôt que d’élever leurs enfants, non pas de les garder (posture passive) ont une responsabilité , la première étant de ne pas incriminer l’autre plutôt qu’elle même : travers bien féminin à notre époque. Les femmes, en refusant la place que la nature leur a dévolue est objectivement responsable de la mise à mort de la famille, du couple et de la négation du rôle de l’homme et du père . Le fait qu’elle soit réceptive, plus que les hommes, aux influences diverses ne l’exonère en rien de sa responsabilité . Votre ultime affirmation est aussi infondée que la première : élever des enfants (vous devriez essayer) implique de communiquer avec d’autres adultes ; les femmes qui se bornent à garder leurs enfants méritent leur situation à ne pas s’élever à la hauteur de leur fonction.

       
    • #3553551
      Le 15 août à 13:47 par Papa seul et heureux ...
      Les femmes à la cuisine, d’accord, mais pas comme ça !

      Y’a des Mecs, des gars, des Pères, qui élèvent seuls leurs enfants (j’en suis), qui font pas chier le monde avec des circonvolutions soit disant intellectuelles. Ils restent sains d’esprit (j’ai cette prétention) en s’occupant, en ne parlant qu’à des enfants toute la journée. Pour ceux là (j’en suis derechef), la Femme devient vite un "défouloir" (si je me fais bien comprendre) à n’utiliser qu’une soirée de temps en temps. Le bonheur !
      Alors, et par ailleurs, le "french-arabic" bon chic bon genre avec sa niakouée encore pire que les nôtres, ou le monstre antiféminin diligenté par l’Etat pour nous expliquer le conflit soft (ce genre là je comprends que la baffe...Bref !) je m’en tamponne largement.

       
    • #3553626

      Je ne cherche ni la confrontation, ni à étaler mes prouesses de mère de trois enfants, jeune, jolie, avec une taille fine et amatrice de cuisine grasse et mijotée.
      Simplement, la réflexion sur les femmes, que je pense juste bien des égards, me semble,à la lecture des commentaires d’hommes blasés et extrêmement sûrs d’eux et les conséquences que cela impliquent, desservir totalement les hommes qui les lisent
      En isolant hommes et femmes, nous rendons l’amour de plus en plus difficile à concevoir, malgré nos différences.
      Ce que signifiait pour moi la pensée profonde d’Alain Soral malgré son air provocateur du à des années d’insultes et de mépris, c’est de retisser le lien.

      Aujourd’hui j’ai cette impression que vous êtes derrière votre écran, vivant très peu dans le réel.
      Vivez, sortez, aimez ! Oubliez le mépris, transformez vous avec le réel ! La femme qui vous attend est loin de votre idéal mais elle vit dans le monde réel comme vous !
      Simplement une impression.

       
    • #3553669

      De plus en plus de mères en burn out...
      Le problème de certains hommes en France, c’est qu’ils idéalisent la femme et la mère, ignorent l’Histoire et sont eux-mêmes pris dans des discours de propagande idéologique :
      - Le code Napoléon a été l’expression d’un mépris très concret pour les femmes et a très certainement contribué à mener au féminisme : la femme n’est pas un enfant mais un adulte.
      - La "Trad wife" est une invention du capitalisme protestant qui voulait obtenir des hommes plus productifs en faisant reposer toute la gestion du foyer sur les femmes, ceci a souvent mené à la division au sein du couple, à la dépression pour certaines femmes, à extraire l’homme de ses responsabilités familiales en lui faisant croire que ramener l’argent suffisait ainsi qu’à confier les enfants à des "experts" et donc à les éloigner de leurs familles tout en contribuant à une rupture de transmission générationnelle.
      - En France, les femmes ont pratiquement toujours travaillé, mais il y avait auparavant comme vous dites la famille élargie, le voisinage et une économie qui le permettait. C’est en réalité la mise en place de l’économie de marché qui a initialement posé les conditions de destruction de la famille française.
      - Depuis le remplacement des conceptions chrétiennes par celles de l’Antiquité, certains hommes réduisent les femmes à des utérus munis d’une paire de bras et de jambes pour faire ménage et cuisine. Cette vision matérialiste retire à la femme le statut d’être humain pour la réduire à un corps seul. A partir de là, ces derniers ne comprennent plus qu’elle a besoin elle aussi de vivre, souffler, faire des choses qu’elle aime elle, avoir des relations significatives pour elle etc. Ils ne la voient plus que comme un objet fonctionnel, réduit à 2 fonctions : foyer/enfant, et si elle fait autre chose, c’est un problème : l’objet est défectueux.

      Or, dans le monde réel, loin de nos idéologies françaises : il y a des pays où les hommes sont encore très virils (musclés, masculins, forts), ces hommes s’investissent pourtant dès les premiers jours dans leur paternité et aident leurs femmes au quotidien. Dans ces pays, les familles sont encore présentes et aident aussi les couples très régulièrement (plusieurs fois par semaine). Et dans ces pays, encore, il n’y a pas de féminisme.

      Que les Français se posent enfin la question : si chaque sexe méprise l’autre, comment voulez-vous donc de nouveau ériger une société digne de ce nom ?

       
    • #3553677

      L’occident a inventé cette absurdité, l’égalité. Les féministes en ont fait leur alpha et oméga sur des bases fausses. Elles ont oublié qu’il est impossible d’être égaux tout en étant naturellement différent. Nous sommes égaux dans nos droits civils et autres lois régissant la vie en société, et c’est très bien ainsi. Femmes et hommes, sommes nous égaux émotionnellement, physiquement, psychologiquement etc...Non et tout un chacun peut facilement le constater.
      En fait, bien avant le féminisme virulent, nous avons envoyé nos petites filles à l’école pour relever le niveau de notre société, ça paraissait logique. Le problème, cette petite fille va étudier, gouter au joie du savoir et de l’instruction. Résultat, il est devenu difficile de lui dire de rester élever ses enfants, même que son instinct maternel est toujours présent. Les rapports hommes femmes que nous vivons de nos jours découle de cette idée généreuse de la scolarité des petites filles, revenir à un modèle traditionnel signifierait une régression. Pourtant des femmes ont refait le chemin vers la responsabilité féminine envers leurs familles, du coup rien ne les fera revenir à l’esclavage de la production, dans tous les cas, libre à elles de continuer un épanouissement superficiel ou de maintenir un socle familiale comme maitresse de maison responsable du parcours de leurs enfant, ou l’homme n’aurait plus rien à redire.

       
    • #3553722

      Surnom :
      Le mythe que vous évoquez a été introduit à la Révolution française et par les penseurs des Lumières : historiquement, sous la période médiévale, l’éducation concernait filles et garçons et les femmes pourtant faisaient bien plus d’enfants qu’aujourd’hui et il était aussi courant à l’époque qu’elles aient un travail. Mais la République a tout intérêt à nous cacher ces faits, qui ont pourtant perduré pendant des siècles dans notre pays, car le cadre médiéval chrétien a fait des familles fortes et surtout beaucoup plus autonomes qu’aujourd’hui sur le plan économique mais aussi politique, puisqu’à l’époque, dans de nombreux lieux de résidence ou sur les lieux de travail, on votait, on décidait nous mêmes de nos lois et on les modifiait quand elles ne convenaient plus (droit coutumier, qui a été remplacé par le droit "républicain", fait par quelques hommes et s’appliquant à tous sans distinction ni possibilité de discussion ou modification). En ne considérant que le modèle "femme au foyer VS homme au travail", nous restons dans le cadre esclavagiste et infantilisant que la République et l’économie de marché ont besoin de faire perdurer pour régner sur nous et nous déposséder de notre liberté et aussi de notre argent. Que les Français se réapproprient leur Histoire : nous avons fait bien mieux que les modèles qu’ils font à escient circuler aujourd’hui.

       
    • #3553868
      Le 16 août à 21:52 par LeVosgien
      Les femmes à la cuisine, d’accord, mais pas comme ça !

      Merci pour vos messages très instructif Elias.

       
  • #3553574

    Il y a des femmes incontestablement intelligentes : celles qui sont médecins . C’est le métier qui veut ça .

     

    Répondre à ce message

  • #3553607
    Le 15 août à 18:48 par Charles.Z
    Les femmes à la cuisine, d’accord, mais pas comme ça !

    J’avoue avoir un "problème", aimant les femmes et la drague.
    Bien mal m’en a appris. Alors que je m’adonnais à ma pratique dans un parc (pratique qui je l’avoue est à certains égards symptomatique et signe d’une tristesse intérieure ou plutôt d’une recherche voir les deux) ; une dame a eu l’impression que je la suivais ; ce qui n’était pas le cas. J’avoue m’être assis près d’elle puis m’être déplacé lorsqu’elle s’était elle aussi levée. Nous avons pris sur une centaine de mètres le même chemin mais me concernant en vue d’aller discuter auprès d’autres femmes et non pour l’importuner (je voyais bien que c’était "mort").

    Quelques minutes plus tard, j’étais assis et je lisais Hegel quand "l’importunée" est arrivée de derrière moi en éructant que je l’avais suivis et en me lançant au visage une remarque bien acerbe : "va te faire soigner" ! Étant donné, que le tutoiement fût de vigueur, je lui ai dit que je n’en avais rien à foutre d’elle et qu’en plus elle n’était même pas jolie (deux assertions vraies).

    En un an, je dois avoir discuté avec 100 femmes (je ne les ai pas compté) ; dont une majorité s’est terminé par une fin de non recevoir (Dieu, qu’elles sont difficiles). Mais des discussions malgré tout et une approche que je pense raffinée (et les retours me le confirme)... Mais cette harpie ; une castatrice symbolique ; j’en suis encore refroidi.

    Certes ma pratique de la drague est apparemment désuete - le marché du désir et la frénésie des applications de rencontre avec ces millions de frustré(e)s) - et comme écrit précédemment ; j’ai un rapport aux femmes qui n’est pas serein (j’ai absolument besoin de les comprendre ; trop long à expliquer) mais de mon humble présentiment, la femme est ontologiquement créée pour aller là où la pensée dominante lui dit d’aller (une question d’habitus hérité de milliers d’années d’évolution) et comme l’ére du temps/le Zeitgeist est résolument tourné vers le mépris des hommes et le désintéressement de l’amour ; nos femmes l’accréditent au plus profond de leur matrice. L’homme occidental se meurt.

     

    Répondre à ce message

    • #3553729

      "la femme est ontologiquement créée pour aller là où la pensée dominante lui dit d’aller"
      Si seul les femmes faisaient cela, notre société actuelle ne ressemblerait pas à ce qu’elle est. Regardez ce qui s’est passé lors de l’épisode covid. En réalité, ceux qui suivent les chemins tracés pour eux à l’avance ont peur, ont été conditionnés, ignorent les manipulations du piège qu’on leur tend ou présentent un certain type de personnalité que l’on rencontre aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Ceux qui ont tendance à questionner ou à suivre d’autres chemins ont souvent un QI plus élevé, des expériences de vie particulières ou des types de personnalité qui n’ont pas peur des conflits ou de la confrontation.

      l’ére du temps/le Zeitgeist est résolument tourné vers le mépris des hommes et le désintéressement de l’amour ; nos femmes l’accréditent au plus profond de leur matrice. L’homme occidental se meurt"
      La femme occidentale aussi se meurt, nombreuses sont en réalité les petites filles puis les femmes qui se détestent ou qui sont malheureuses, même si elles ne le disent pas toujours. La vérité est que certaines personnes nous ont déclaré la guerre, à nous, hommes et femmes français, car elles veulent nous voir disparaitre et qu’il n’y a qu’en s’estimant à nouveau les uns les autres, car faisant partie d’un même peuple, que nous pourrons prendre un autre chemin que celui qu’ils nous imposent. C’est ce que je constate dans les pays fonctionnels : hommes et femmes ne se livrent pas la guerre mais ont tendance à se soutenir et à se défendre. Mais il est très dur de ne pas tomber dans le piège de la guerre "homme/femme" qu’ils se plaisent tant dans notre pays à alimenter aujourd’hui. Beaucoup de femmes et d’hommes y succombent, souvent parce qu’ils ont vécu de mauvaises expériences. Cependant, ce n’est qu’en s’élevant au-dessus de notre condition individuelle que nous pourrons refaire société, ceci implique d’accepter la souffrance liée à ces mauvaises expériences et de la dépasser.

       
  • #3553726

    La vidéo de Sabri est pas mal pour remettre les pendules à l’heure : la fille qu’il présente est assez représentative des poufs (car c’est une pouf même si elle semble agréable) qu’on trouve un peu partout en Asie, et en occident, et maintenant partout dans le monde.

    La femme s’est pouffisée, de part la facilité à trouver de l’argent facile, bcp plus qu’avant :
    Les métiers physiques sont sous-payés, et parfois on préfère recruter des femmes cause RH fémines alors même qu’elles sont moins bonnes pour faire le boulot.
    Les métiers moins physiques sont mieux rémunérés (même si cela tant à changer), et les femmes sont bcp plus compétitives : plus soumises au travail, plus jolies (evidemment).
    S’ajoute les réseaux sociaux ; même si bcp d’hommes en vivent, il y en a infiniment moins que les femmes. Donc encore de l’argent facile. ("tradwife-twitterisée" en font parties)
    Enfin les prestations tarifées sont également bcp plus développées qu’antan, grâce aux applications et au réseaux sociaux. Avec un choix bcp plus vaste et simple pour la femme de choisir le client en prime.

    Que reste t-il à l’homme ?
    L’entrepreunariat, les places de direction, et les boulots physiques. C’est à dire en fait tous les boulots les plus difficiles avec la plus grande charge mental et/ou physique.

    C’est à dire que pour la majorité des boulots, la femme aura plus de succès.

    S’ensuit une pouffisation de la société, au niveau mondial.

    Empirée par le fait que les hommes se sous-estiment de plus en plus et sont près à accepter n’importe quoi en terme de relation. (ce à quoi répond le mouvement mgtow)

    La solution est la suivante : ne jamais se rabaisser. Préférer un service tarifé une ou deux fois par mois, mais conserver sa liberté. Faire une croix sur la vie de famille (le plus souvent une vie d’esclave) plutot que de renoncer à sa fierté d’homme. Il y a quantité de voies à suivre pour se réaliser.
    L’homme est fait pour diriger, pas pour être un esclave. La femme est faite pour suivre et s’occuper des enfants.

    Si ces rôles ne sont pas respectés et assumés, ou si vos revenus ne vous permettent pas d’assumer votre rôle de chef de famille, mieux vaut passer votre chemin.
    En Asie comme ailleurs.

    Cependant l’amour reste possible même en Asie : si vous choisissez une femme qui a bcp d’argent (et il y en a plein) ou a minima d’une origine sociale confortable, et qu’elle est ok pour etre en couple avec vous, cela peut être sincère. L’inverse sera beaucoup, beaucoup, beaucoup plus rare.

     

    Répondre à ce message

    • #3553979
      Le 17 août à 12:05 par Bernard Lapotre
      Les femmes à la cuisine, d’accord, mais pas comme ça !

      C’est à dire que pour la majorité des boulots, la femme aura plus de succès.

      Totalement faux.
      La femme est valable dans les boulots type administratif / social / paramédical impliquant des tâches relativement répétitives ou axées sur l’empathie (contact avec les enfants ou les personnes fragiles).
      Elle est distancée, et de fait minoritaire, dès lors que le métier exige de la créativité, de la logique pure, du sang-froid, des responsabilités tangibles, non pas seulement parce qu’elle en est moins capable mais parce que ça ne l’intéresse pas et que ça ne correspond pas à sa nature.

       
  • #3553733

    il y a des femmes fidèles comme il y a des vocations manqués ,,,

     

    Répondre à ce message

  • #3553824

    Les femmes â la cuisine d’accord mais seulement en nuisette.

     

    Répondre à ce message

  • #3553967
    Le 17 août à 10:24 par Frenchbroad
    Les femmes à la cuisine, d’accord, mais pas comme ça !

    Bonjour, quand je me suis mariée il y a plus de 30 ans le curé m’a dit une chose que je n’ai jamais oubliée : « le mariage est consacré à fonder une famille ».
    Avec mon conjoint nous avons choisi nos enfants plutôt que la reconnaissance sociale et avons profité de la « flexibilité de l’emploi » pour que l’un ou l’autre nous puissions nous occuper, profiter d’eux.. Et assumer notre responsabilité de parents. J’ai cuisiné des milliers de repas pour ma famille..Je suis fière d’être mère de famille, mais pas que ça… J’´ai travaillé dans la chimie, l’informatifk ! Personne ne m’a empêché quoi que ce soit parce que je suis une femme comme cela le fut pour ma mère… Je connais ma chance et par respect pour ma lignée qui a fait que,je suis ici maintenant, je veille à la continuité de cette lignée…
    Affranchie depuis longtemps grâce à Soral.. et d’ autres. Merci à lui d’avoir fait le boulot intellectuel donnant du sens à ce que nous observions et à nous adapter à l’environnement. Utiliser notre intelligence. En toute souveraineté.
    voici une phrase extraite d’un texte de Julius Evola
    _ »fais en sorte que sur quoi tu n’as pas prise, ne puisse avoir prise sur toi »
    _

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents