C’est David Eisenhower, le petit fils du général-en-chef du débarquement qui, en 1994, a remis les pendules à l’heure concernant l’intervention étasunienne en Europe du 6 juin 44, en faisant une tournée de conférences dans son propre pays. Les Etasuniens ont hésité jusqu’en 1943 mais il prennent conscience cette année là que l’Allemagne nazie va perdre la guerre. Elle a été vaincue à Stalingrad et le rouleau compresseur soviétique s’est mis en marche. Il ne s’arrêtera plus avant l’atlantique. Il devient urgent pour les Etasuniens d’intervenir s’ils veulent garder une influence en Europe occidentale qui est dans l’état idéal pour être recolonisée économiquement, culturellement et linguistiquement par les anglo-saxons puisque l’Allemagne a échoué dans cette tâche. N’oublions pas que les Etasuniens ont, durant un temps, appuyé l’Allemagne et, à ce titre, on pourra revoir gratuitement sur youtube le film de Verneuil "1000 milliards de dollars" qui n’est absolument pas une fiction. Ce qui est sûr, c’est que l’Allemagne nazie respectait la langue et la culture française beaucoup plus que les Etasuniens qui n’auront de cesse de les détruire par le biais de leurs affidés, de leurs stipendiés et autres collabos qui oeuvrent activement à cette tâche depuis 1945. Depuis de Gaulle, la France est gouvernée par des sous-merdes qui ont appliqué les desiderata étasuniens et transformé notre pays en une entité molle, vidée de son identité et aux ordres de Washington. Nous nous soumettons désormais aux lois extra-territoriales étasuniennes comme c’était le cas autrefois, dans les enclaves coloniales. La langue anglaise est partout, 100 fois plus présente qu’à Paris aux jours sombres de l’occupation allemande et les abrutis et autres minis habens prenant la parole sur BFM s’en repaissent avec délectation sans se rendre compte qu’ils sont les excréments de ce processus de digestion commencé en 1945 avec la soi-disant libération de notre pays par les troupes étasuniennes.
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