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Le syndicat des infirmiers s’oppose à la réintégration des soignants non-vaccinés

Le 30 mars 2023, la Haute Autorité de santé (HAS) préconisait la fin de l’obligation vaccinale contre le Covid-19 pour les professionnels de santé, tout en expliquant (pour ne pas trop se dédire) que le vaccin était fortement recommandé... Elle admettait néanmoins que l’épidémie de covid était à un niveau très faible. De plus, selon elle, 86 % des personnels soignants ont fait leur première dose de rappel (soit 2 doses sur 4 en tout) dans les Ehpad et 89 % chez les médecins libéraux. La réintégration souhaitée ne concernerait que 1 000 infirmiers sur 4 000 soignants non vaccinés. Le gouvernement, par la bouche du ministre François Braun, a indiqué qu’il suivra cette préconisation.

 

Dès le lendemain, le syndicat national des professionnels infirmiers réagissait avec virulence. Voici un extrait du communiqué du SNPI, qui s’oppose à la préconisation de la HAS de réintégrer les personnels non vax des hôpitaux et des Ehpad.

« En tant que professionnels de la santé, les soignants ont un devoir envers leurs patients de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour les protéger contre les maladies et les infections. La vaccination est l’un des moyens les plus efficaces de prévenir la transmission des maladies infectieuses, y compris le COVID-19 ».

Alors que ce pseudo-vaccin ne protège ni contre la transmission ni contre la maladie, et c’est admis par les responsables de Pfizer et Moderna eux-mêmes ! Le dernier argument qu’il leur reste, c’est que l’injection protégerait des formes graves... Alors que les injections multiples produisent justement des formes graves (thromboses, AVC), souvent attribuées au « covid long » par la presse mainstream... Le merdier disparaît sous le tapis, et le tour est joué ! Heureusement pour le Big Pharma, il reste encore des provax radicalisés :

 

 

Le communiqué du syndicat infirmier montre deux choses :

1. Les infirmiers piqués ne sont pas très confraternels avec leurs ex-collègues appelés par la HAS à revenir dans les établissements de santé ;

2. Ils envoient le message sous-jacent selon lequel ils se seraient fait avoir par la politique d’injection forcée et pas les autres, les refuzniks du « vaccin ».

Traduction : on a pris des risques, on s’est fait injecter un produit douteux, et eux ils peuvent revenir sans avoir été punis ! Ce syndicat avoue par son agressivité à l’égard des soignants libres qu’il s’est fait rouler dans la farine, une farine oligarchique à la fois française et européenne.

Nous savons que beaucoup de soignants se sont fait piquer à côté, mais globalement, une majorité de soignants a accepté la punition oligarchique (selon le SNPI, sur 700 000 infirmiers, moins d’un milliers auraient été en quelque sorte objecteurs de conscience). C’est tout à leur déshonneur.

La suite du communiqué est délirante, surtout quand on sait que ce sont les multi-injectés qui commencent à tomber malades, et que le covid a quasiment disparu (un covidiot à la télé a osé parler d’une « 10e vague ») :

Par consé­quent, main­te­nir l’obli­ga­tion vac­ci­nale COVID pour les soi­gnants est un impé­ra­tif éthique. Les soi­gnants ont une res­pon­sa­bi­lité envers leurs patients et la société dans son ensem­ble de faire tout ce qui est en leur pou­voir pour pro­té­ger la santé publi­que. Refuser de se faire vac­ci­ner va à l’encontre de cet impé­ra­tif éthique et peut avoir des consé­quen­ces graves pour la santé publi­que.

Le résultat de cette politique de régression sanitaire et de déstabilisation des effectifs a été l’affaiblissement général de la santé de la population. ici, un élu RN évoque le problème de la désertification en Occitanie (23 mars 2023).

 

 

Désormais, le mot d’ordre en matière vaccinale est : recommander, mais pas imposer. Les antivax ont gagné, mais à quel prix !

Une « grande victoire » pour Philippot

 

Mathias Wargon en PLS

Les antivax, sur E&R :

 






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  • A tous ceux qui m’ont cassé les couilles avec un air méprisant et un regard accusateur concernant mon rejet de l’injection bourlesque, j’ai toujours répondu avec la même question :

    pourquoi des décisions de santé publique ont été discutées en comité restreint au sein d’un conseil de défense confidentiel ?

    PLS garanti, pas un seul mougeon ne m’a jamais répondu la dessus.

     

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  • #3151974

    Ces vaccins n’ont aucune efficacite et sont dangereux. Les promouvoir est soit de la stupidite soit de la malice, soit les 2.
    Je ne prendrai jamais plus aucun vaccin et je n’oublierai JAMAIS ces violations de mes libertes fondamentales (paSS, confinement...).

     

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  • #3152007

    Ayant subi une petite intervention à l’épaule, juste avant la mise en place du "pass de la honte" à l’hôpital Girac- Angoulême, j’ai été , je l’avoue très agréablement surpris : ni mon médecin traitant, ni les "administratifs", ni l’anesthésiste, chirurgien, infirmières ne m’ont fait remarquer : ’vous n’êtes pas vacciné, à votre âge, etc..." (64 ans). J’ai même entendu, en salle d’attente, l’anesthésiste ayant laissé ouverte la porte de son bureau, ce médecin dire à une patiente : " vous savez Madame, ce vaccin ne protège nullement des formes graves du virus !"
    Ce type de comportement qui, de toute évidence, respectait mon choix, m’avait grandement rasséréné à l’époque : je me méfie en conséquence des messages émanant des syndicats propres à entretenir la colère et la division et je suis convaincu que tout le personnel injecté ayant subi les doses pour pouvoir continuer à bouffer n’a pas ce mépris ni cette inhumanité envers les suspendus...Le Diabolos, diviseur en chef qui est aux manettes politiques de sous-France continue à s’acharner sur ce pays béni de Dieu...et cela depuis plus de 2 siècles désormais...

     

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  • Ce syndicat proclame : "Notre syn­di­cat accueille et regroupe sans dis­tinc­tion d’opi­nion, de sexe, d’âge ou de natio­na­lité, tous les infir­miers sala­riés des dif­fé­ren­tes fonc­tions, grades ou sec­teurs d’acti­vité, publics ou privés".  !
    Si, si ! "Sans distinction d’opinion " qu’on vous dit ! Par contre la discrimination sur critère vaccinal...

     

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  • #3152029

    Bordel, renseignez-vous.

    Il s’agit d’abord de contenter la base. La tension sur les RH (manque de soignants) permet de maintenir les " HUBLOT" ET de pousser toujours plus loin des revendications salariales !

    Au CH de Périgueux, nbre d’infirmières tourne à 3500 à 4500 € grâce à ces remplacements. Et depuis le début du Covid les Hublot sont exonérés...

    ==> le retour des soignants non vacc est à la fois une gifle à l’orgueil et la fin du jackpot.

     

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  • #3152037

    Bon, qu’est-ce que les psychopathes vont pouvoir se mettre sous la dent ?

    – Des larves et des insectes ?
    Non, ça c’est pour le peuple uniquement !

    – Interdire les soins pour injecter des poisons ?
    Non, c’est déjà fait !

    – Se fâcher avec le pays qui nous fournit en énergie et aider des nazis ?
    Zut, ça aussi c’est déjà « en marche » !

    – Emmerder tout le Monde avec des élucubrations réchauffistes ?
    Là non plus il n’y a rien à rajouter !

    – Faire interdire de circuler à plus de 15 minutes de chez soi ?
    C’est en cours, des essais sont faits selon encore le volontariat !

    – Faire porter une muselière ?
    Pas besoin de forcer, les moutons sont apeurés et dociles !

    Ah j’y suis ! L’EAU ! Y a qu’à dire qu’on va manquer d’eau et refiler toutes les sources et nappes phréatiques aux copains milliardaires !!!

     

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  • Je souhaite de très heureux effets secondaires (AVC, malaises cardiaques et autres...) aux putes inoculées qui persistent à vouloir pourrir la vie de leurs collègues plus intelligents, courageux et éthiques qu’elles.

     

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  • la réintégration c’est bien, maintenant il faut les indemniser de leur salaire perdu plus de l’outrage qu’il ont subi et s’occuper de poursuivre tous les gourous de cette vaccination obligatoire devants les tribunaux

     

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  • #3152147

    Il y a un terme : fils de putains.

     

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  • L’attitude de ce syndicat était prévisible :
    Même mis devant l’évidence, jamais les ânes n’admettent qu’ils sont des ânes ; mettez leurs un bat qu’ils se prennent pour des pur-sang sellés, agitez une carotte à leurs naseaux qu’ils avancent et qu’ils imaginent être des coursiers…alors qu’ils sont dociles, et soumis comme des bidets, bâtés en baudets, équipés de tète de mules, marchant au pas qu’on leurs impose ….
    Hi han, hi han ! Hi han ! Hi han ! Voilà le rythme de leur caravanes uniformes, l’hymne de ce joug qu’ils appellent sans honte leur liberté, la chanson de leur esclavage, le cantique de leur soumission…

     

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