Vous trouvez la chasse aux œufs ringarde ? Passer le week-end de Pâques avec vos proches désuet ? L’idée d’un barbecue entre amis vous fait frémir ? Surtout si la dominance masculine s’exerce pour faire cuire la viande ?
Les Femen ont pensé à vous, si nombreuses. Ce dimanche de Pâques, une soirée « endiablée » est prévue pour fêter l’ouverture de leur nouveau local à Clichy.
Programme des réjouissances ? « Messe sataniste, bûcher de merguez, coups de fouet, débats infernaux, musique païenne et blasphème à tous les étages. » Le squat en question ne possède pas de sonnette, mais il est indiqué qu’il suffira de crier « gloire à satan » pour que l’on vous ouvre…
À l’issue de cette attrayante soirée sera organisé un camp d’entraînement de cinq jours afin de pouvoir mener la « guerre féministe sainte », entraînements physiques, ateliers sur le féminisme à la clef – ou comment essayer de se donner une crédibilité.
Cette pendaison de crémaillère à l’ambiance provocatrice et blasphématoire n’est qu’une énième illustration de la vacuité de la pensée Femen, qui semble ne pouvoir se définir qu’en opposition à ce qu’il est le plus facile d’attaquer : la religion, et plus précisément la religion catholique.
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