Bouffées délirantes, rires démoniaques, réactions surjouées, quintes de toux irrépressibles, alcoolisme sur médicaments... De nombreux Américains, et pas seulement des supporteurs de Trump, se posent des questions sur l’état de santé mentale et physique de la candidate démocrate.
Hillary Clinton est-celle plus proche de l’hôpital que de la Maison-Blanche ? Et si d’aventure elle parvenait à la présidence, ses pathologies pourraient-elles avoir un effet sur sa politique ? Bénéfique ou désastreux ?
Ce qu’on ne voit pas n’est pas forcément plus rassurant : au-delà de ses TIC ou de ses TOC, qui ne font pas d’elle une personne dangereuse pour l’humanité, ses crises de rage qui ont choqué son entourage et son insistance à vouloir amplifier la politique d’agressions israélo-américaines tous azimuts sont beaucoup plus inquiétantes. À côté de ça, ses frasques homosexuelles et ses gaffes par rapport au secret des mails semblent bénignes. Et à côté d’Hillary Clinton, Bibi Netanyahou fait figure de dirigeant humaniste plein de sang-froid.
Alors la conjonction des deux... on vous laisse imaginer. Ce qui ne fait pas de Trump le candidat idéal. Toujours est-il que le système américain, symbolisé par la troïka des lobbies financier, culturel et militaro-industriel, (Wall Street-Hollywood-CIA/US Army) a visiblement misé sur le mauvais cheval. Un cheval-marionnette aux fils trop voyants, et aux fils qui se touchent.
Sachant très bien que le staff de campagne de Trump est capable de tous les coups, comme celui de Clinton, qui « travaille » actuellement son adversaire sur la publication de son patrimoine personnel, histoire de se mettre l’Amérique pauvre dans la poche, on s’attend à une campagne où le caniveau fera figure de plafond. Récemment, des photos ont fuité, si l’on peut dire, sur les tenues d’Hillary, avec des vestes qui tombaient toujours très bas dans le dos. Explication officieuse : la potentielle first lady porterait des couches.
À ses agitations neurologiques s’ajouterait le crime d’incontinence. Bref, si personne n’appuie sur le bouton nucléaire en novembre, on sent qu’on va bien rigoler, et surtout apprendre des choses. Car les campagnes électorales, chez eux comme chez nous, sont les seuls moments, dans la vie politique, où les plus gros mensonges côtoient les vérités les plus surprenantes.