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TROISIEME PARTIE
C’est une des plus grandes ironies de l’histoire que l’empire romain ait finalement choisit la religion chrétienne, non comme un culte de plus, mais comme l’unique et seule vraie religion. Il semble incroyable que Rome, après avoir complètement dévasté le pays d’Israël, ait adopté une religion dont les textes sacrés racontaient l’histoire juive, de plus une religion fondée par un prophète (du point de vue romain) juif censé avoir été executé par un gouverneur romain. L’histoire traditionnelle suggère que c’est forcément la main de Dieu qui a guidé l’humanité hors de l’obscurentisme païen. Outre la possibilité que le christianisme soit la religion préférée de Dieu, d’autres raisons peuvent expliquer son succès. La religion chrétienne ne fut pas le seul culte adopté par l’empire romain. En 304, 17 ans avant que le christianisme ne devînt religion d’état, un autre homme Dieu comme Jésus né miraculeusement un 25 décembre et dont les disciples célébraient le repas symbolique de pain et de vin, fut déclaré « protecteur de l’empire » : il s’agit du sauveur perse Mithra. Les perses étaient les anciens ennemis et rivaux de Rome, c’est pourquoi l’adoption de Mithra par les romains est finalement encore plus surprenante que celle du sauveur juif Jésus. Les mystères de Mithra se répandirent extrêmement rapidement à travers l’empire au cours du 1er siècle ap JC. Au 3ème siècle, au sommet de sa popularité le Mithraïsme était pratiqué partout dans l’empire. Les monuments de ce culte révèlent que les esclaves comme les hommes libres étaient initiés à ces mystères et que, souvent, les esclaves y parvenaient aux plus hauts rangs. Dans le Mithraïsme les derniers devenaient vraiment les premiers. A la fin du 2ème siècle l’empereur Commode y fut initié, ce qui renforça la popularité de ce culte, plusieurs empereurs après lui voulurent de ce culte la religion de l’empire. Marc Antoine, lui se réclama d’un autre culte, celui de dionysos. Claude se tourna vers attis, Vespasien adora Serapis, Domitien Osiris etc...
QUATRIEME PARTIE
Tous ces cultes furent proposés à différentes époques mais sans succès. Dans la première moitié du 4ème siècle, l’empereur Constantin soumit à l’essai le christianisme, qui pouvait remplir le rôle de manière idéale ; les romains avaient besoin d’une religion à mystères car elles étaient toujours populaires parmi le peuple. Mais mais les mystiques et les philosphes qui se tenaient à leur tête avaient l’audace de mettre en doute et d’ébraler l’autorité de l’état. Le christianisme littéraliste, cependant, s’était débarrassé de ces intellectuels gênants et devenait une religion autoritaire qui encourageait ces fidèles à croire aveuglément en ceux qui tenaient les rennes du pouvoir. C’était exactement ce que les autorités romaines voulaient : une religion sans mystiques, des mystères extérieurs (exotériques) sans mystères intérieurs (ésotériques), un contenant sans contenu.
En 321 Constantin devînt le 1er empereur chrétien. Et bien que ces motivations furent clairement politiques et non spirituelles, il déclara de nombreuses années après qu’une vision sacrée l’avait amené à se convertir.
PREMIERE PARTIE
Toujours sans jugements haineux ni invectives inquisitrices, et en essayant le plus possible d’aller aux textes et récits historiques, pour finalement à la fin d’un autre commentaire essayer de réconcilier gnostiques et littéralistes on se rend compte que sous bien des rapports, les chrétiens littéralistes perçurent les conceptions gnostiques du christianisme originel sous formes d’images qu’ils prirent au pied de la lettre, et c’est à partir de là qu’ils constituèrent l’église catholique. Les littéralistes se montrèrent rigides et autoritaires, les gnostiques étaient individualistes et mystiques. Les littéralistes voulurent imposer une croyance commune à tous les chrétiens ; les gnostiques toléraient différente pratiques et convictions. Les littéralistes choisirent 4 évangiles pour « saintes écritures » et envoyèrent le reste au feu le qualifiant d’hérétique et œuvre du diable. Les gnostiques écrivèrent des centaines d’évangiles chrétiens diff’érents. Les littéralistes affirmaient que le vrai chrétien croyait au Jésus que prêchaient les évêques, les gnostiques enseignaient que le vrai chrétien faisait lui-même l’expérience de la gnose, la « connaissance » mystique, et devenait ainsi un christ (ce qui veut pas dire qu’ils se croyaient égal ou supérieur à dieu), ils étaient en dieu. Les gnostiques furent tellement décimés que, jusqu’à une date récente presque tout ce que nous savions d’eux provenaient de leurs détracteurs et oppresseurs (c’est pour dire !). Les littéralistes nous transmirent l’idée et nous conditionnèrent à penser (et ca continue aujourd’hui, il est dur de se battre contre l’idéologie dominante) que le gnosticisme était une perversion de la pensée chrétienne, qui mélait des doctrines païennes à l’authentique enseignement de Jésus. Pendant presque 2000 ans telle fut la ligne directrice orthodoxe du christianisme. Et comme il élimina toutes les oppositions et détruisit tout les témoignages méthodiquement, il fut en général pris pour la vérité. En 1945, cependant, l’on découvrit les écrits d’une bibliothèque gnostique dans une grotte près de Nag Hammadi (Egypte). Or cet à révolutionné la compréhension du gnosticisme et du christianisme à ses débuts et, aujourd’hui, il est possible de laisser parler eux-mêmes les gnostiques.
DEUXIEME PARTIE
Toujours pris pour des hérétiques, ils se considèrent comme des chrétiens authentiques. Dans un évangile intitulé l’apocalypse de Pierre, Jésus ressuscité appelle le christianisme littéral une « parodie d’église » remplaçant la véritable communauté chrétienne des gnostiques. Du point de vue gnostique, les littéralistes ont détournés le vrai christianisme. Ils s’instituèrent une religion en une foi aveugle en des événements historiques qui, à l’origine, n’étaient que les symboles d’une voie spirituelle offrant aux simples croyants(1ère étape avoir la foi) puis aux initiés (2ème étape parfaire la foi) le pouvoir de faire l’expérience personnelle de la connaissance mystique ou gnose (la communion avec dieu). Pour les gnostiques, les littéralistes ne prêchaient que les mystères extérieurs du christianisme, un « christianisme » du monde, concevable pour « gens pressés ». Au contraire le gnosticisme était un véritable « christianisme spirituel » révélant les mystères chrétiens, intérieurs et secrets, un à un « petit nombre d’élus » (la majorité des gens travaillant durement tout la journée n’avait pas le temps d’étudier, il devaient se « contenter » de la foi). Ces quelques citations ne proviennent pas d’un hérétique gnostique peu connu, mais des écrits des deux plus éminents chrétiens de l’église à ses débuts : Clément d’Alexandrie, à la tête de la 1ère école philosophique chrétienne de cette ville, et de son successeur Origène. Hautement respectés, ils sont toujours considérés comme les deux plus grands philosophes des débuts du christianisme, bien que leur enseignement fut plus proche du gnosticisme que du christianisme moderne. Clément d’Alexandrie est même honoré comme un saint par l’église catholique, pourtant il écrivit des volumes sur les gnostiques qu’il qualifiait de vrais chrétiens quand il dit dans stromate : « Seul le gnostique est vraiment pieux. ». Les croyances gnostiques de ces 2 intellectuels chrétiens respectés et influents, montrent que les gnostiques n’étaient pas des hérétiques insignifiants et rejetés en marge du christianisme comme le tradition voudrait nous le faire croire. Bien au contraire, le gnosticisme représente un courant spirituel qui attira des chrétiens importants des premiers siècles de notre ère, non seulement des sages comme Valentin et Basilide, qu’il ne faut pas oublier parce qu’ils furent brûlés comme hérétiques par l’église de Rome, mais aussi des hommes comme Clément et Origène.
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Comme disait Clément d’alexandrie : « il n’y à qu’un seul fleuve de la vérité et il reçoit ses affluents de tous côtés. » Comme je l’ai évoqué dans un commentaire précédant, L’astrologie païenne avait découvert que le christianisme débuta à l’ère des poissons ; cette période touche maintenant à sa fin et nous sommes à la veille d’une ère nouvelle, celle du verseau. Dans le flux de l’histoire, nous nous trouvons donc au même point critique que les premiers chrétiens, et les temps que nous vivons évoquent le dernier changement d’ère par de nombreux aspects. Il règne une peur apocalyptique, d’étranges et éclectiques cultes nouveaux surgissent de toute part. La religion établie est discrédité et a décliné. Quelle forme prendra la spiritualité de l’ère du verseau ? Nous devons avancer vers l’avenir avec confiance et amour, mais il faut clarifier le passé ; c’est pourquoi il convient d’examiner d’un esprit critique et sans passions exacerbées. Le christianisme littéraliste qui à dominé, modelé, les quasi 2000 dernières années de nôtre civilisation. Spirituellement parlant, ce fut vraiment une « sombre période » caractérisée par une religion autoritaire, la bigoterie et des guerres religieuses, en s’adjugeant le titre de seule foi véritable, ce n’est surement pas l’église que souhaitait Jésus. Le comportement de l’église catholique et de ses dirigeants est loin de ses enseignements, mise à part bien sûr certains de ces sages penseurs pieux qu’il y à eu à divers moments de l’histoire. Le christianisme littéraliste creusa un gouffre infranchissable entre lui et les autres traditions spirituelles. La supériorité qu’il s’arrogea lui permit de justifier ses massacres de multiples communautés du monde. Il a même poursuivi cruellement ses propres mystiques et libres-penseurs.
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En adoptant Jehova, père divin des juifs, en qualité de seule admissible image de dieu, il réprima la manifestation de la divinité féminine, manœuvre théologique en vue de légitimer la sujétion des femmes. Son exigence de croire aveuglément à ses dogmes (si nous maîtres de l’église le disons c’est que c’est vrai) et son opposition à toute investigation intellectuelle ont conduit beaucoup à rejeter les autres formes de spiritualité comme de simples superstitions. Pour un nombre croissant, la religion est malheureusement, une plaisanterie, et au pire, une sources de préjudices, d’intolérance et de conflits. Tandis que d’autres cultures honorent les ancêtres, reconnus comme fondateurs de leur sagesse et de leur civilisation, le christianisme littéraliste a vilipendé les nôtres en le les traitants d’adorateurs du démon, cela à fait des dégâts par toujours visibles sur la psyché occidentale pour un grand nombre. Aujourd’hui contrairement aux anciens nous ne percevons pas que la spiritualité et la science sont les deux aspects d’un même mystère et en faisant d’eux des ennemis irréconciliables.
Bien que le christianisme littéraliste eu l’intention d’unifier le monde sous la bannière d’une religion unique, celui-ci n’en suscita pas moins de profondes divisions : chrétiens contre païens, hommes contre femmes, science contre religion, foi contre raison. L’histoire de Jésus et une possibilité de guérir les blessures infligés à l’âme par ces terribles schismes.
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Si le christianisme reconnaissait sa dette envers les anciens mystères il pourrait retrouver le contact avec le courant universel de l’évolution spirituelle humaine et devenir un partenaire et non un adversaire des autres spiritualités qu’il à injustement qualifiées d’hérétiques et d’oeuvre du démon. Il est aujourd’hui choquant de prétendre que le christianisme vient des mystères païens. Le christianisme ne provient pas seulement d’une intervention divine, car, quand on lit quantitativement et sérieusement les textes anciens (trop trop long à développer et sourcer) on se rend compte que celui-ci à évolué à partir d’un passé plus lointain comme tout en ce monde. Il n’y a pas de rupture brutale dans le fil de l’histoire, seulement des changements dans la continuité. Les anciens mystères païens ne sont pas morts. Ils se sont changés en quelque chose de nouveau... En christianisme. La spiritualité occidentale s’est formée à partir de ces deux grandes traditions. Le temps est venu de redécouvrir leurs fondements communs, de chasser les contentieux et de réclamer dans la paix et l’amour l’intégralité de notre héritage. Certes les fondamentalistes ne l’accepteront pas, mais si le christianisme cède à la pression réactionnaire et retourne à son passé autoritaire, il se précipite lui-même dans la poubelle de l’histoire. Le monde actuel est évidement trop sophistiqué pour se laisser prendre à l’affirmation maintenant dépassée : « Tout cela est forcément vrai car c’est dit dans la bible ». J’ajouterai que le christianisme littéraliste n’est plus la force dominante qu’il a été. Son déclin plonge notre civilisation dans la recherche éperdue d’une nouvelle direction spirituelle.
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Or, c’est seulement en renouant avec ses racines mystiques que le christianisme pourra jouer un rôle dans la genèse d’une spiritualité pour l’ère du Verseau, préparons le « terrain » spirituel pour le retour du Christ. Etant donné que le christianisme littéraliste est construit sur des fondations branlantes d’impostures historiques, il devra s’écrouler tôt ou tard. Les mystiques de Toutes les traditions spirituelles enseignent qu’il n’y a qu’une seule vérité, immuable et omniprésente. Le christianisme des mystères, lui, repose en sécurité sur roc mythique de la vérité intemporelle, et il restera aussi pertinent aujourd’hui qu’il l’à toujours été.
Je n’ai jamais voulu attaquer le christianisme littéraliste,car, déjà, il est une face de la même pièce, mais essayer de lui montrer la possibilité de regagner une chose qu’il a perdu : les mystères intérieurs qui dévoilent les secrets de la gnose, révéler l’ancienne grandeur de l’histoire de Jésus, car c’est vraiment la plus extraordinaire des histoires, une histoire qui a des milliers d’années d’accomplissement. Les mystères intérieurs nous disent que nous sommes tous fils et filles de dieu, et que si nous comprenons l’histoire de l’homme dieu sacrifié, alors nous pouvons, nous aussi, ressusciter et retrouver notre véritable identité divine immortelle. Nous devons tous renaître spirituellement, c’est la révélation du mystère proclamé par Paul : « Le christ est en vous ; » Dans l’évangile de Thomas Jésus fait cette Promesse : « Celui qui boira de ma bouche deviendra comme moi. Et moi je deviendrai lui, et les choses cachées se révéleront à lui. »
@paing et @derf, ça serait bien que vous écriviez des articles, voir des essais...
Désolé pour le double pseudo, Paing et Derf sont la même personne, c’est un changement (de pseudo) voulu par ma petite fille, par amusement enfantin (elle n’a que 7 ans). Elle était à côté de moi pendant la validation de ces 4 derniers commentaires.
Christianisme des mystères : oxymore !
Le Christianisme est fondé sur la clarté de la révélation : nul mystère. N’importe quel homme peut comprendre le message christique, qui est simple. C’est une religion fondamentalement exoterique, dont l’enseignement s’ adresse a tout le monde.
C’est exactement le contraire d’un enseignement ésotérique, qui a lieu par degrés d’initiation et qui est réservé à une élite (je pense aux mystères d’Eleusis dans la Grèce antique ou à la franc-maçonnerie aujourd’hui). C’est, à mon sens, une différence fondamentale, et c’est ce qui confère à la gnose son caractère hérétique. Jésus, me semble-il, prêchait dans les rues et non dans d’obscurs temples entouré d’initiés...
Il s’ adressait au peuple et non à des élus : c’est d’ailleurs pour cela qu’il s’ attira la haine des prêtres juifs. Sa mise à mort, dès-lors, était inévitable, et il le savait : c’est le message même de son supplice.
@paing à écrit :
[à propos de Clément d’Alexandrie et son successeur Origène] /.../ Hautement respectés, ils sont toujours considérés comme les deux plus grands philosophes des débuts du christianisme, bien que leur enseignement fut plus proche du gnosticisme que du christianisme moderne. /…/ Les croyances gnostiques de ces 2 intellectuels chrétiens respectés et influents, montrent que les gnostiques n’étaient pas des hérétiques insignifiants et rejetés en marge du christianisme comme le tradition voudrait nous le faire croire.
Je ne fais que souligner cette partie ...
Merci à toi pour ce long et très intéressant commentaire.
Merci à vous également ainsi qu’à tous ceux qui ont voulu s’exprimer, et merci à E&R de nous avoir permis de commenter.
L’ apologie de l’ Athéisme par le marquis de Sade
« l’athéisme est maintenant le seul système des gens qui savent raisonner » …..... Marquis de Sade . Étonnante déclaration pour le fondateur du Sadisme qui fait l’éloge du meurtre , de la pédophilie , de la calomnie et même du vol ( qui selon lui développe le courage, la force, l’adresse ) . Toute la jouissance de cet homme repose sur la transgression de la morale . Tout ce qui est immoral est terriblement bon , et sexuellement désirable . Pour le marquis de Sade l’ athéisme est le seul moyen donné à une société de pouvoir autorisé et légaliser la perversité et la décadence . Nous y somme donc ! …... la France se vente aujourd’ hui de sa laïcité et tente de l’ imposer aux autres pays en leurs faisant croire que la débauche et l’ immoralité sont une preuve d’ émancipation et de liberté d’ un peuple ouvert et tolérant .
( Le Discours du Chevalier Franc-Maçon Ramsay )
« L’athée doit découvrir sa croyance , son fondement irrationnel , et commercer avec elle . Et du coup , nous , néo athées , nous pouvons demander aux croyants de devenir néo-croyants , c’est-à-dire d’établir un nouveau commerce avec leurs dieux ».
* La Laïcité est tout sauf neutre , la Laïcité est un courant de pensée nihiliste qui nous a été imposé par la Franc-Maçonnerie spéculative en 1789 puis en 1905 pour mettre en place un athéisme d’ état . Il suffit de lire les droits de l’ homme pour constater ce dogmatisme athéiste ériger en exemple à suivre qui nous conduit inexorablement vers un matérialisme du vide et de l’autodestruction pour faire place au Luciferisme d’Albert Pike . Le but et l’ objectif de la Franc-Maçonnerie est la destruction des nations , des religions et des peuples grâce à la Laïcité et les Droits de l’ Homme pour servir ensuite les intérêts du Diable .