Trump utilise les décrets exécutifs non pour éviter les lourdeurs administratives, mais pour court-circuiter une représentation nationale qu’il sait vérolée par le lobbying et les conflits d’intérêts.
Il faut garder à l’esprit que c’est le même Trump et le même Musk qui ont activement participé à la réussite de l’opération de la DARPA Warpspeed-mRNA-Covid19.
Nous sommes à l’ère post-démocratique, il n’est plus question de s’assurer du soutien du bétail humain ou de contrôler l’opinion publique. Le beta-test Covid19 a permis d’éprouver toutes alternatives, notamment le « tapis roulant totalitaire » (peur + conditionnement + coercition + privation arbitraire de droits et libertés), pour éliminer les divergents sans susciter la colère ou la solidarité du reste du troupeau, et l’utilisation de la technologie de surveillance et de contrôle pour récompenser les collabos avec une liberté conditionnelle à obsolescence programmée.
Trump nous fait entrer dans une ère de contrôle total où les objectifs stratégiques nationaux et supranationaux sont réalisés sans se soucier de l’opinion publique ou des priorités attendues par le peuple.
L’USAID c’est un outil de l’ancien monde, il n’est plus utile.
Tous les moyens technologiques existent pour une démocratie réelle et directe, mais le choix fait par Trump, en accord avec les labos pharmaceutiques et la DARPA, c’est l’utilisation de l’IA notamment « pour développer des injections de thérapies géniques pour soigner le cancer ».
Musk s’est acheté Trump en finançant sa campagne. Avec le DOGE, Musk qui a pour objectif de transformer X en appli omnipotente, centralisant toutes les interactions humaines, commerciales et administratives, basée sur l’identité numérique, à l’image de WeeChat, accède aux données bancaires et commerciales de l’Amérique.
Tout comme Trump avait ouvert la voie au totalitarisme covidiste en validant l’opération WarpSpeed pour imposer les injections expérimentales, il semble prendre la même voie pour imposer l’IA et l’identité numérique.
Dans la dernière couverture de « The Economist » l’œil au-dessus de Trump c’est celui d’Elon Musk. On s’achemine, à l’insu de notre plein gré vers un système technocratique et policier de surveillance totale où l’IA décidera des objectifs stratégiques et des résultats à obtenir quelles que soient les conséquences, comme à Gaza, le laboratoire technologique et le portrait de Dorian Gray de l’Oligarchie mondialiste.
Répondre à ce message