Les Israéliens débattent surtout de la nécessité d’informer l’allié américain avant de frapper les sites nucléaires.
La guerre que se livrent en secret Israël et l’Iran a connu lundi un nouvel épisode. Benyamin Nétanyahou a accusé Téhéran d’avoir manigancé deux attentats visant des voitures des ambassades de l’État hébreu à New Delhi et en Géorgie, qui ont fait un blessé. « L’Iran, qui est derrière ces attaques, est le plus grand propagateur du terrorisme dans le monde », a lancé le premier ministre.
Ces déclarations illustrent l’extrême tension actuelle entre les deux pays. La probabilité de frappes militaires contre l’Iran n’est plus mise en doute par grand monde en Israël. L’inconnue porte plutôt sur le calendrier, la grande question étant de savoir si l’État hébreu peut se permettre d’attaquer seul les installations nucléaires iraniennes, sans le feu vert au moins tacite de Barack Obama.
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