Excellente analyse qui s éloigne du complot strictement bancaire et communautair, en ouvrant sur une analyse plus politique des évolutions que nous vivons.
bravo pour votre site

Répondre à ce message

Une analyse d’une volubile érudition.
Nonchalante et pointue.
Un bagout de récent agrégé de droite.
Un peu frimeur.
Intéressant.
Par contre, un puéril rire sadique d’auto-satisfecit.
Là il perd un peu contenance.

Répondre à ce message

Bon entretien , bien que je pense que Pierre-Yves Rougeyron soit le Etienne Chouard du pauvre ...
Une piqûre de rappel est nécessaire somme toute.

Répondre à ce message

Intéressant mais vers la fin ça devient du n’importe quoi :

1. Les Verts allemands ne sont pas d’extrême gauche (extrême gauche allemande = MLPD, DKP, KPD, PSG etc). Ils sont, et ont toujours été, des exemples type du bobo mondialiste, américanophile (d’ailleurs plusieurs "stars" du parti sont membres de lobbies atlantistes et du Bilderberg, Ozdemir Trittin et Fischer par exemple) et cosmopolite.

2. Pour savoir ce que pense l’extrême droite allemande au sujet de l’Europe une simple recherche sur google suffit : ils sont partisans d’une Europe des nations mais aimeraient rétablir les frontières de l’avant 2ème guerre mondiale.
Ce que je ne trouve pas particulièrement choquant étant donné que l’extrême droite hongroise aimerait rétablir les frontières du royaume de Hongrois (avant le traité de Trianon), que l’extrême droite polonaise aimerait rattacher les "Kresy wschodnie", que l’extrême droite suisse aimerait rattacher la Franche Comté et tout le territoire Arpitan, que l’extrême droite croate aimerait rattacher la Bosnie-Herzégovine, que l’extrême droite finlandaise aimerait rattacher la Karélie, que l’extrême droite grecque aimerait rétablir la "Magna Grecia" etc etc etc

3. 49:45 - 50:10 Qui peut me dire où et quand Joschka Fischer est censé avoir dit tout ça ? J’ai rien trouvé sur google et à vrai dire j’ai énormément de mal à le croire puisque Joschka Fischer (et les Verts allemands de manière générale) était un des principaux "Antideutsche" (cf. les explications de Christian Bouchet ou bien les citations sourcées des hommes politiques de premier rang des Grünen).

Répondre à ce message

Brillant, subtile et précis !
J’émets une petite réserve sur le rôle de méchant agresseur attribué à l’Allemagne durant les première et deuxième guerres mondiales. Il a une vision plutôt très conformiste officielle sur cette période de l’histoire on ne peut plus trouble et complexe. Ceci étant dit cela n’enlève rien à la pertinence du reste de son discours.

Répondre à ce message

Je suis charpentier, c’est un métier technique, physique et dangereux.
Si ça fuit ou que ça s’écroule, le client en a rien a foutre de ta géométrie dans l’espace. Le résultat est mauvais point barre.
Tout est dit au début : la classe bourgeoise ne veut pas que l’état fasse de la planche à billet. Pourquoi ? la richesse est relative à la pauvreté. Sans population affamée, moins de pognons. Mais comme ils ont besoin qu’on reste en vie, ils ouvrent le robinet quand ça les arrange.

Répondre à ce message

Merci pour le relai de cette vidéo !

Bien à vous,
Jonathan

Répondre à ce message

Intéressant. Et le gars connaît ses classiques :"Autant dire : j’ai le sida, qui en veut ?".

Répondre à ce message

j’ai posté un sujet ici il y a deux jours en mettant en posant la question du positionnement de Mr Rougeyron vis à vis de Alain Soral. Je ne vois pas mon message. Censure-t-on aussi sur égalité et réconciliation ?

Répondre à ce message

Pour info : un livre dont l’auteur fait partie d’une branche nationaliste de la franc-maçonnerie, et dont le but principal est d’exonérer le rôle de la banque Rothschild dans la dette publique française.
Cela étant dit, tout ce qui dénonce l’endettement des Etats par les banques privées est bon à prendre. On a donc à faire à une stratégie rhétorique qui mélange l’information et la désinformation, mais qui présente l’avantage de viser la finance juive sans la nommer. Cela permet de médiatiser le propos plus facilement et sans atteindre le point de Godwin tout de suite. Mais que l’auteur et ses Frangins ne s’y trompent pas : attaquer la banque, c’est toujours attaquer le sionisme.

Répondre à ce message