Sous le titre L’éternel survivant, Le Point publie cette semaine un article sur le retour en grâce de DSK, au terme des derniers rebondissements new-yorkais. Or ce long papier est signé d’un mystérieux Jacques Suzon. Inconnue au bataillon et ne figurant pas dans la liste des journalistes en poste au sein de cet hebdomadaire, cette signature intrigue depuis hier les plus fins limiers de la profession ? Mais qui est donc cette plume, au nom qui évoque une boisson alcoolisée ? Il s’agit tout simplement d’un nom d’emprunt, d’un pseudonyme derrière lequel s’est abrité le journaliste politique d’Europe 1 et du Journal du Dimanche, Claude Askolovitch, que vient justement d’embaucher Le Point.