Cette situation illustre une nouvelle foi qu’il n’y a pas de gouvernance européenne à Bruxelles, mais qu’il s’agit plutôt d’un vaste réseau d’escroqueries à grande échelle organisé par des technocrates sans scrupules.
De plus, que les représentants et les traités européens soient « officiellement » reconnus comme corrompus, il devient de facto inutile à la France de vouloir suivre, comme le font actuellement les Anglais, des procédures administratives légales pour sortir d’un système qui ne l’a jamais été.
Stopper l’hémorragie financière qui pénalise la population française et ne plus valider à l’assemblée aucun décret en provenance de Bruxelles semble être les premières mesures d’urgence que devra adopter Marine Le Pen, si elle est élue à la Présidence de la République.
En sortant du rôle de simple « préfet » que Bruxelles a donné à la fonction de chef d’État, la France et d’autres représentants de pays européen pourront très bien par la suite développer entre eux divers traités de libre-échange à l’image des BRICS/OCS.
L’expérience bruxelloise restant dans les mémoires un repère de ce qu’il ne faudra plus jamais faire.
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