Depuis que Manuel Valls est ministre de l’Intérieur, les réseaux d’extrême gauche bénéficieraient-ils de passe-droit lorsqu’il s’agit d’agresser tous ceux qu’il désigne comme des « ennemis de la République » ? Une vidéo publiée samedi par l’Agence Info libre semble le démontrer.
[...] Certains groupes radicaux, classés à gauche ou à l’extrême gauche, comme ceux qui se désignent comme « antifas » ne seraient-ils pas devenus les « barbouzes » de notre époque ? Seraient-ils tolérés, aidés, financés par le pouvoir actuel comme le SAC – Service d’action civique – au temps du gaullisme ? Les différentes agressions et dégradations de ces derniers mois, à Brest, Nantes ou encore Rennes tendraient à le démontrer. Des individus clairement identifiés s’en étaient alors pris à des personnes ou à des biens sans que la justice n’engage de poursuites.
Breizh-info avait rapporté les propos tenus par plusieurs policiers du SDIG de Bretagne. Ils confirmaient que des consignes sont données pour que les forces de police ne s’occupent pas des membres de l’extrême gauche, notamment dans ses bastions.
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Voir aussi, sur E&R :
« Les tabous de la gauche radicale »
« Lettre d’un ancien antifa » (Courrier des lecteurs)