On ignore le contexte de cet échange verbalement musclé entre le vieil antifasciste des années 1970 et les nouveaux antifascistes (on dira néo-antifascistes) de ce printemps 2016. Mais visiblement, le courant n’est pas passé.
Est-ce à cause des prises de position du philosophe proche de Renaud Camus ? De ses articles dans le journal Causeur ? De ses livres où il tourne casaque politiquement ? De ses nombreuses apparitions télévisuelles, où il fustige la nébuleuse gauchiste antisioniste ?
Toujours est-il que entre lui – l’élite sioniste de droite – et la base de gauche, le contrat de confiance semble rompu.
#AlainFinkielkraut crie "fascistes" place de la République #NuitDebout pic.twitter.com/oQteMdZ0Qr
— Ilana Eloit (@lopoponax) 16 avril 2016