Comme vous le savez, je vous informe périodiquement des travaux du 9/11 Consensus Panel (vous trouverez ici toute la documentation à laquelle je fais référence dans cet article). Ce que je vous dis cette fois, c’est qu’il est désormais prouvé que le NIST (National Institute for Standards and Technologies) a menti.
Et pas seulement une fois. Il faut avoir à l’esprit que le NIST est l’institution publique qui, seule, a été chargée par le gouvernement américain d’effectuer l’analyse des causes des effondrements qui se sont produits au World Trade Center le 11 septembre 2001. J’insiste ici sur ce premier fait curieux : le gouvernement charge un organe technique gouvernemental de mener une enquête dans laquelle ce même gouvernement est impliqué. Et il se contente de cette seule enquête, évitant soigneusement que d’autres entités, ne dépendant pas directement du gouvernement, viennent mettre leur nez dans ces questions épineuses.
Mais cela reste un détail.
Venons-en aux faits, qui ont émergé récemment, et qui sont les suivants : les affirmations du NIST, selon lesquelles il aurait été impossible d’examiner les caractéristiques structurelles de l’acier du WTC 7, du fait qu’il n’aurait pas été retrouvé de l’acier de ce bâtiment, sont fausses.