Kontre Kulture présente :
Anthologie des discours d’Adolf Hitler
Lors du référendum sur le rattachement de la Sarre à l’Allemagne, sans faire campagne , sans qu’Hitler n’ait à prononcer un seul discours sur cette question , les Allemands votent OUI à 90 %. Au-delà de ce score dantesque, il s’agit d’un véritable plébiscite de la politique économique du Reich qui a sorti de la misère 7 millions de chômeurs affamés . À ce moment là, il n’y a plus d’opposition. Hitler , par son verbe, a conquis la quasi-totalité du peuple allemand. L’Allemagne est devenue une dictature aux yeux de l’Occident lorsque les Allemands ont soutenu l’action de Hitler à 90 %. Aucun chef d’état n’a autant fait vendre de papier que le führer national-socialiste. Tout a été dit sur lui. Tantôt honni, tantôt adulé ! Pour beaucoup, il a été financé par la banque. Dès 1926, le financier Schacht , son futur ministre de l’économie, est bombardé par Wall Street à la tête de la Dresdner Bank, en Allemagne. Mais Schacht , sous l’impulsion d’Hitler, met en place la traite de travail qui va faire office de monnaie à la place du Reichmark officiel pour régler les transactions internes et relancer une économie exsangue. Hjalmar Schacht, impressionné par la culture encyclopédique d’Hitler, trahit la Haute Finance Internationale et se met au service des intérêts allemands. L’Allemagne se caractérisant par une économie de transformation, Schacht institue le troc, avec les pays de l’Est voisins, basé sur l’échange de produits et machines contre matières premières. Un système de troc bien huilé se met en place en dehors du système monétaire international. Quel pays a-t-il fait cela ? L’Allemagne était sous la menace du communisme qui grondait non loin de ses frontières . Certes, il y a eu des erreurs et la Providence n’ a pas toujours éclairé le Führer. Ernst Röhm, à la tête de 3 millions de SA, n’aurait jamais dû être éliminé parce qu’il prônait la mise à l’écart de certains membres de l’Etat major dont la plupart, comme dans toutes les armées du monde, se révèlent être d’illustres incompétents, imbus d’eux-mêmes. Hitler l’a ensuite appris à ses dépens.Le suprémacisme blanc est mort à Stalingrad. Sa fonction n’était pas tant d’instituer la supériorité d’une race sur une autre que d’établir la suprématie de la race blanche sur des populations populations issues de croisements entre différentes ethnies. À force d’antiracisme, formidable vecteur de culpabilisation des masses, le métissage est le sort qui nous attend tous.