Pierre Fournier : la tradition du bon vêtement (1/2)
13 novembre 2023 05:20, par coco chamelUn bel homme de 80 ans, ce M. Fournier !
Souhaitons-nous le même aspect au même âge.
Il y avait aussi des marques françaises excellentes dans les années soixante, qui ont disparu. La Hutte, pour le sport, par exemple, et le camping.
Les faiseurs étaient français. Les vêtements étaient variés, soignés, de qualité, plus chers. Les enfants avaient un vêtement de semaine et un vêtement de dimanche ; Un vêtement spécial pour les mariages, communions, baptêmes... très soigné, repassé, qui pouvait servir aux enfants plus jeunes de la famille, ensuite (frères, sœurs, cousins...). Acheter un vêtement était toute une affaire, et se faisait dans un petit magasin ou un grand de type La Samaritaine.
Les vêtements de Monoprix n’avaient pas la cote.
Couturière, c’était un vrai métier (presque exclusivement féminin). Pas chinois en usine. Il y eut toutes sortes de raffinements du vêtement (ruchés, fronces, ballons, etc.) aujourd’hui disparus ou réservés à une "élite" sans goût ni respect du travail, ni française, ni même européenne.
Honneur au Japon, qui apprécie la marque de M. Fournier.
Le Japon, comme la France avec laquelle ce pays a beaucoup d’affinités, doit retrouver confiance, savoir-faire et tradition.
Redevenir japonais, comme nous devons redevenir français. Les Japonais ont actuellement du mal à accepter que le covidisme était une arnaque, tant ils ont confiance dans les institutions et sont généralement honnêtes.