Il reste les parents, les seuls à pouvoir défendre leurs enfants de l’approche de cette décadence.
Je les connais, j’en suis, ni homophobes, ni haineux, juste des pères et des mères qui ne veulent pas que leurs enfants et petits-enfants, à l’école maternelle, primaire, au collège, au lycée, soient confrontés à des descriptions cliniques des échanges sexuels fluides ou pas, entre adultes.Au wokisme pervers qui se traduit par : "Si t’as pas essayé, tu peux pas savoir, tu sais pas de quoi tu parles."
L’éducation c’est nous, les parents. A l’école d’essayer de dépasser le niveau actuel. Parce que c’est encore nous qui devons compléter les carences du système.
A ceux qui le peuvent, il est temps d’ouvrir des établissement alternatifs. L’excellence française n’est pas morte. Elle est dormante. Des volontés, parfois bénévoles, sont en route pour court-circuiter leur plan.