Je ne voyais pas clair dans ces affaires. Il me semble qu’une part de mimétisme joue beaucoup dans les affaires actuelles. Nul n’aura manqué les publicités cosmopolites et/ou l’incroyable présence féminine dans les médias (journalistes, ...).
Or la France, en terme de matérialisme dialectique, ne produit plus grand chose et énormément d’écume médiatique. Cette écume créée de la déprise, l’objet ne passant plus que par cette écume médiatique à très forte subjectivité féminine, en quasi saturation de bovarysme. Un "JE" pense, désire, possiblement décorrélé de toute astreinte du spectre entier du réel, une sorte de filtre subjectif, rendu possible inconditionellement.
Vous n’entendrez pas de femmes aujourd’hui,vous parler de mathématique, de ballistique, ou tout objet neutre démontrable. La parole des femmes faisant foi sans nécéssité de vérification ou débat, la causalité, la démonstration, l’hypothèse en deviennent dangereux.
Ceci est intenable dans le temps. Cela créée d’abord de l’instabilité, des tensions ensuite et devra in fine trouver une solution. En France, la mondialisation a pu compenser la nécéssité de production locale et ses contraintes, et laisser la place à un possible vide capable de se nourrir de n’importe quel désir. Donc tant que la mondialisation et le socle français non encore détruit permet cette assise de ce bovarysme, cela continuera. Si l’apport de la mondialisation devient insuffisant, ou que le socle français devient trop abîmé, alors les conditions de ce "JE" actuel féminin ne pourront plus permettre cet affranchissement d’objectivité.
Exemples : les jeunes femmes parties en Syrie. Que pouvaient elles espérer au bout de 5 ans de délire. La dernière Palme d’or à Cannes. Sans le modèle français de subvention du cinéma (chaînes, régions, CNC, ...) serait elle capable de produire ses films dans le temps.