États-Unis : Nina Jankowicz, papesse de la censure, assignée à comparaître par le Congrès
9 mars 2023 17:31, par L’abbesse du ThaudLa censure est un business.
Acte 1. Les gouvernements censurent (pas besoin de démonstration) ce qui permet aux censeurs de gagner leur vie (généralement grâce à des subventions financées par le peuple)
Acte 2. Pour lutter contre la censure, le peuple (notamment sur les réseaux sociaux) cherche à être créatif. Ainsi pour éviter de citer les G…comme responsable de rien il utilise simplement la lettre G. Et comme dans 1984 il va utiliser le mot rien pour dire le contraire de tout.
Note : spoiler : G veut évidemment dire « Gaulois » ou « Jillets Gaunes »
Acte 3. Les gouvernements subventionnent alors des compagnies pour qu’elles produisent des algorithmes qui par analyse des textes et des tweets pourront détecter les désinformations. Ainsi la phrase la « paix c’est la guerre » va être détecté comme désinformation alors qu’il est vrai que c’est faux, puisque c’est pendant les périodes de paix que l’on construit les armes pour faire la guerre.
Acte 4. L’intelligence artificielle ne pouvant réussir à être à la hauteur de celle des avocats, (puisque ces derniers veilleront à ce qu’il en soit toujours ainsi), ils seront sollicités par les gouvernements pour produire des règlements long comme le bras sur lesquels il faudra cliquer sans les lire de telle sorte que l’argent des amendes, pour non respect de la langue de bois, alimente les caisses des censeurs.
Acte5. Fatigué de ces contraintes et de cette politique, le peuple se réfugiera dans la consommation en achetant, par exemple, une multiprise maitre-esclave sur une cavalière qui monte à cheval et qui s’est coupé le sein droit pour mieux tirer à l’arc. Ce qui lui voudra encore une amende pour 1) langage discriminatoire dans son bon de commande 2) propagation de fausses rumeurs et 3) confusionnisme.