Boris prouve que le poker n’est pas un jeu de hasard
2 janvier 2023 20:47, par Patrie HautePour répondre à certains, comparer les échecs au poker n’as pas trop de sens.
Les échecs sont basés sur l’intellect pur, c’est cette puissance de calcul qui est soumise au hasard et à la psychologie.
Le poker est intrinsèquement un jeu basé sur psychologie, ou le hasard garde toute sa puissance mais un rôle somme toute confidentiel, et la logique et la stratégie purement mathématique un rôle secondaire également.
Le game consiste à savoir ce que l’autre a. Et particulièrement à le sentir. À l’inverse, il s’agit également de l’inverse : Cacher son jeu et envoyer de fausses informations.
C’est juste un avis, par contre il me semble assez clair que les échecs sont un jeu patriote là où le poker est un jeu pervers.
Cela me semble un peu hallucinant que sur un site comme E&R, personne n’en ait visiblement conscience.
La tromperie, le bluff, la domination psychologique, la triche possible à tous les étages (marquer les cartes, s’allier en traître, probablement des caméras et autres artifices dans les salles de jeux etc) le tout pour gagner du fric. Le poker PUE et SUINTE littéralement des pires mécanismes qui engendrent notre société, qui nous mènent au malheur. Bien sur qu’il faut être intelligent, bien sur que l’intellect compte, la stratégie aussi, mais l’ordre est inversé par rapport aux échecs, où la puissance de calcul pure est la plus importante.
Je pense que le sujet pourrait être développé beaucoup plus profondément (et j’ai la flemme de le faire...)
Autre chose TRÈS important, pour conserver le parallèle, les anglo saxons sont des joueurs de poker, les russes d’échecs.
Poutine a le meilleur jeu, mais il n’est pas impossible qu’il perde, fut-il muni d’une puissance de feu imparable, parce que la guerre est autant un jeu d’échecs qu’une partie de poker.
La guerre étant LE jeu le plus puissant qui n’ait existé et probablement qui n’existera jamais, bien plus que la chasse. Un jeu de poker sur un échiquier, avec des cartes infinies et pour seules règles celles que l’adversaire impose.