Comment l’Allemagne et les écologistes ont poignardé la filière nucléaire française
12 décembre 2022 18:56, par MivilleVous oubliez de nommer l’éléphant qui se prélasse dans le salon où vous débattez : Israël, et sa chambre haute au sein de la République française qui est le CRIF. Le nucléaire français c’est bien beau, mais la quasi-totalité des brevets en rapport avec l’énergie nucléaire sont propriété israélienne ou bien co-propriété américaine-israélienne ou franco-israélienne, pour des raisons historiques évidentes : les procédés de la fission nucléaire sont une série d’inventions technologiques juives que seule une intense collaboration entre juifs sionistes a rendue possible d’abord pour vaincre l’Allemagne à tout prix puis pour assurer aux soutiens les meilleurs d’Israël leur suprématie militaire.
La France en fit partie à quelques occasions où les nationalistes Wasp risquaient de poser des conditions un peu trop contraignantes. En France même les personnes (savants et plus encore administrateurs d’entreprises publiques et privées) clés dans ce domaine sont en majorité soit juives soit alors spécialement sélectionnés pour leurs partis-pris mondialistes les plus délirants.
La physique nucléaire même si c’est moins exclusivement que du temps de JFK et de de Gaulle reste un domaine où la communauté organisée se co-opte en priorité. La plupart des physiciens nucléaires juifs ou non sont des enthousiastes de la pensée de Hariri.
Voilà, Israël a jugé que la France, en rétribution pour son assez longue période où elle ne voulut se mettre à dos aucun pays majeur de l’OPEP, ne mérite plus d’avoir accès aux brevets nécessaires pour faire marcher son industrie nucléaire au-delà des contrats qui furent signés jusque pendant le long règne de Mitterrand : on les laisse faire fonctionner leurs centrales déjà en marche mais pas au-delà de leur période estimée de fonctionnement adéquat sans réfection majeure, et non plus jamais pour la construction de centrales neuves. Israël laisse le choix entre la fermeture des centrales une fois le temps estimé de fonctionnement écoulé, ou la cession du territoire où elles se trouvent à des pays et des entreprises non-français.
De plus tout ce qui reste de main d’oeuvre très qualifiée fait la grève du zèle quand ce n’est pas la grève tout court : en effet ces gens qui furent volontiers marxistes de discours dans les années 1970 sont des lecteurs d’Ayn Rand et de Atlas Shrugged désormais : tous conviennent que les peuples et plus particulièrement le peuple français ne devraient plus avoir droit à consommer du produit de leurs cerveaux.