"Pour Gianluca Grimalda, cette action a tourné à l’horreur"
Je dois pas avoir la même conception de l’horreur
Pour moi l’horreur, c’était se retrouver sous le bombardent des gentils libérateurs a Dresde, c’est la Colonnes infernales en 1794, c’est le phosphore blanc sur des écoles palestiniennes, c’est le peuple Serbe , Yéménite, Vietnamien bombarder , massacrer, par les yankees (de mierda), c’est le peuple tué avec sauvagerie par Azov, l’OTAN, c’est les boucheries où nous ont envoyé BHL, Gluksman, Enthoven, Goupil pour le bien de la banque et des multinationales, c’est le Bloody Sunday, mais rester assis sur son cul une main collé au sol, c’est pas l’horreur pour moi, c’est passer pour des cons et ne pas l’assumer, et donc parler d’horreur