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L’arroseur arrosé : des activistes climatiques restent collés durant 42 heures dans un garage Porsche

Des activistes dénonçant l’inaction climatique (apparemment, le climat n’en fout pas une rame, d’après eux) se sont collé une main sur une œuvre d’art, le plus souvent une peinture, depuis le début de l’été. Sûr qu’après ça le climat va (re ?)devenir raisonnable.

 

Le plus souvent, par peur des conséquences ou peut-être parce que subsiste encore en eux une once de bon sens, c’est sur le cadre que la colle a été appliquée, sans qu’il y ait donc atteinte à l’intégrité de l’œuvre.

- 29 juin : à Glasgow, sur une œuvre de Horatio McCulloch. Les deux idiots ont eu le temps, avant de dégainer la glu, de recouvrir la toile originale montrant un paysage peint en 1860, d’un paysage moins charmant, avec avions, arbres morts, et usines polluantes.

 

- 30 juin : à Londres, sur une peinture de Vincent Van Gogh

- 1er juillet : une peinture de Turner à Manchester

- 4 juillet : une toile de John Constable à Londres

- 5 juillet : encore à Londres, une copie de La Cène, attribuée à Giampietrino

 

- 22 juillet : un Botticelli à Florence

- 30 juillet : une œuvre d’Umberto Boccioni à Milan

- 22 août : La Madone Sixtine à Dresde

- 9 octobre : une peinture de Picasso en Corée du Sud

- 14 octobre : deux activistes issus d’une spéciation récente à partir d’Homo sapiens, que l’on pourrait qualifier d’infra-humains, bref deux spécimens probablement non genrés mais que la biologie patriarcale tendrait à conjuguer au féminin, s’en sont pris aux Tournesols de Van Gogh (heureusement protégés par une vitre) à la National Gallery de Londres.

 

Dans un geste vraisemblablement inconscient, et malheureusement incompris du plus grand nombre, elles ont aspergé la toile de soupe à la tomate, de la marque Heinz. Or, Heinz et la propagande réchauffiste ne sont pas sans rapport. Le pape du réchauffement, James Hansen, a reçu en 2001 un prix de la fondation Heinz, pour son travail sur le réchauffement climatique (anthropique, sans précédent, catastrophique…) ; la coquette somme de 250 000 dollars. Une fondation alors dirigée par Teresa Heinz, l’épouse du démocrate John Kerry, auquel, ô coïncidence, le même James Hansen apportera son soutien à la présidentielle de 2004 !

 

- 23 octobre : une toile de Claude Monet, Les Meules, à Potsdam (Allemagne), là aussi protégée par une vitre.

 

Voilà. Une liste qui ne se veut pas exhaustive. Outre le constat d’une bêtise crasse, on en fera deux autres : le plus souvent, ce sont des jeunes femmes, probablement de jeunes bourgeoises, et quand il y a un homme, il est souvent à cheveux longs (un moyen de lutter contre les stéréotypes de genre ?) ; on remarque aussi, quand la vidéo est disponible, une lenteur de la sécurité, qui ne semble être là que pour enregistrer un fait accompli (voire pour éviter toute agression envers les hors-la-loi).

Dans l’exemple qui suit, l’inaction n’en est pas réellement une. Le recours à une action plus virile est la première idée qui vient à l’esprit dans ce genre de cas. Mais ne rien faire de manière réfléchie peut s’avérer redoutable. Par ailleurs, les activistes ne sont pas ici de jeunes idiotes à cheveux verts ou roses, mais des hommes, parfois d’âge mûr : des universitaires ! Il est vrai qu’il manquait à toute cette mascarade l’entrée sur la scène des crétins à diplômes. C’est chose faite. Mais à malin, malin et demi…

– La Rédaction d’E&R –

 


 

Des activistes climatiques se sont collés au sol chez un concessionnaire automobile en Allemagne. À la fin de la journée de travail, le patron du garage Porsche a tout simplement éteint la lumière et le chauffage, ne laissant pas non plus de clé pour les toilettes.

 

La protestation d’activistes climatiques s’est terminée dans la confusion à Wolfsburg, en Allemagne. Des universitaires, membres du groupe Scientist Rebellion, ont décidé d’aller se coller sur le sol d’une salle d’exposition d’un garage Porsche.

 

 

Le concessionnaire n’a pas trop fait cas de ces invités surprise : lorsque la journée de travail s’est terminée pour ses employés et lui, il a simplement éteint la lumière et le chauffage, laissant les protestataires pris à leur propre piège – collés sur le béton froid.

 

 

Les employés n’ont pas accédé à la demande des quinze activistes, dont neuf se sont collés au sol, de leur laisser « une cuvette pour faire leurs besoins », s’indigne le scientifique Gianluca Grimalda, l’un des militants collés, sur Twitter.

 

Libérés après... 42 heures

Pour protester contre le fait d’avoir été ignorés de la sorte, certains des protestataires ont ensuite entamé une grève de la faim – dont Gianluca Grimalda, enseignant à l’Institut d’études sur l’économie mondiale de Kiel, en Allemagne.

 

 

Lorsqu’il a rouvert son commerce, le concessionnaire a préféré appeler la police plutôt que de discuter des exigences de décarbonisation du secteur automobile, comme le réclamaient les militants. Après 42 heures d’immobilisation, les activistes ont été « libérés » par la police de leur situation difficile... avant d’être interpellés !

 

 

Des blessures « potentiellement mortelles »

Pour Gianluca Grimalda, cette action a tourné à l’horreur. Le scientifique aurait pu garder des séquelles à vie de la nuit « presque blanche » passée dans le garage. Sa main a, en effet, enflé à cause de l’immobilisme et des caillots « potentiellement mortels », selon les médecins, se sont formés dans sa main.

L’homme a été transféré à l’hôpital, laissant ses huit camarades au sol, explique-t-il toujours sur les réseaux sociaux. Même s’il obtient le soutien de quelques utilisateurs de Twitter, la majorité des internautes s’en donne à cœur joie pour ironiser sur la situation. « Ils voulaient la décarbonisation, c’est pourquoi le concessionnaire s’est senti obligé de couper le chauffage. La preuve qu’il prend la situation au sérieux », écrit un utilisateur.

 

En France, on s’en prend aux monuments immatériels :

 






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