Le transactivisme à destination des mineurs mène à l’abîme
1er septembre 2022 18:16, par nico
Plutôt que de parler de dysphorie de genre, nous parlons de « dysphorie pubertaire », l’adolescence étant une période de grande vulnérabilité et d’interrogations légitimes sur le corps, la sexualité,
Cette phrase est le coeur même du problême.
Il y a des ordures sur cette terre qui de tous temps n’ont eu de cesse que d’exploiter les faiblesses , les failles et les vulnérabilités de l’humain pour l’avilir le rabaisser au rang de bête régit par ses bas instincts.
Ils s’en prennent à présent aux enfants , et la prochaine attaque soyez en certains, sera la légalisation de la pédophilie ...et une fois encore cela sera revendiqué au nom du bien, de l’amour et de l’égalité.