Le transactivisme à destination des mineurs mène à l’abîme
1er septembre 2022 16:09, par GERARD R.Qu’est-ce qu’on peut bourrer dans la crâne de ces mômes ! La remarque vaut également pour les parents, souvent frileux ou couards, pour déprogrammer leurs enfants, des "fichiers infectés" que l’enseignement ou les assoces putrides, bourrent dans leur cervelle souvent débile, car non éduquée. Ces parents démissionnaires, qui viendront chialer, lorsque leur descendance tournera mal, mais qui n’ont jamais assumé leur rôle de protecteurs !
Pour peu que me réfère à l’époque de ma puberté, je me souviens que personne ne nous manipulait de la sorte. Mes vieux, peu instruits, se contentaient de savoir qu’il y a deux genres (hommes et femmes) et c’est marre. L’enseignement, fort occupé à nous apprendre à lire, écrire et compter, en plus de nous instiller les ferments du civisme n’a jamais abordé la question de notre sentiment d’appartenir ou pas au "bon sexe" Putain ! Garçons ou filles, nos sens étaient en plein éveil. On était contents de bander, on était fiers de faire savoir avec quelle "pisseuse" on était sorti le week end. Certaines idylles, se sont concrétisées, ô abomination, par des unions heureuses ou résignées...
Comme cela a toujours existé, les mâles ne pensaient qu’à "ça" et les filles qu’à se refuser. Du moins aux premiers assauts. Et cela était du à leur parents, qui craignant de les voir rentrer engrossées, les mettaient dûment en garde, contre... la chose "immonde" que les garçons pourraient leur faire subir.
Aujourd’hui, je mesure la chance que nous avons eue, de n’avoir pas été pollués, manipulés par tous ces dégénérés, qui frustrés dans leur schizophrénie profonde et chronique, voudraient attirer vers leur néant, ceux qui sont normaux. Attention, danger !!!
Encore aujourd’hui, je mets en garde ma petite-descendance, en l’assurant que la chose, la chimie ou le dieu qui les a faits tels quels, est mille fois plus fiable, que toute cette racaille laveuse de cerveaux, qui veut la corrompre pour la rendre folle. Et j’enjoins à mes fils de faire de même !