L’utilisation de la "féminine universelle" n’est pas neutre
30 juillet 2022 09:06, par julotBon on a tous ici plus ou moins compris le but derrière le discours de Typhaine Duch.
Cette O.V.N.I s’inscrit dans la logique activiste progressiste (culture Woke) continuité de la pensée déconstructiviste théorisée au siècle dernier.
Il n’est pas difficile d’identifier à qui elle doit la paternité (un comble) de son argumentation, pour peu que l’on connaisse ce qu’est le déconstructivisme, qu’en France c’est le philosophe Jacques Derrida qui a été la tête de pont de sa théorisation et enfin que tout chez elle transpire l’opportunisme conscient ou inconscient avec une pointe de névrose à peine perceptible derrière le jeu d’actrice appris au Cours Florent et à l’École Florian Sitbon.
Au delà de la diarrhée verbale parfaitement orientée visant essentiellement la génération nouvelle, ce qui m’interpelle c’est l’image ou plutôt le symbole du féminisme universelle accroché sur la porte de son appartement.
Il semble que cette artiste reçoivent sans doute des subsides ou soutiens direct ou indirect du mouvement Otpor branche de la fondation NED (National Endowment for Democracy) qui forme à l’action non violente des jeunes révolutionnaires de différents pays.
Le point tendu stylisé à l’intérieur du symbole féminin c’est signé.
Elle est membre de Femmes en Résistance et du collectif Abolition 2012, sans compter qu’elle coche toutes les cases des différents organismes en lien avec les institutions dépendant de l’état et des collectivités menant des actions "culturels" sur tout le territoire.
Elle aura même reçu le prix Gisèle Halimi, dans le cadre du concours d’éloquence organisé par la Fondation des femmes.
Bref un dossier faits et documents pourrait lui être consacré tant les personnes, collectifs, productions culturels avec lesquelles elle est en lien s’inscrivent dans une stratégie plus large initié par le NED et la constellation de mouvements affiliés (Otpor...) dont le financement figure dans le chapitre du budget du ministère des Affaires étrangères consacré à l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID).
C’est sur ce terrain qu’il faut investiguer afin de cerner ce type de personnage, identifier d’où il parle afin de tordre le coup à ces discours visant, par le langage et l’usage de terminologie linguistique sortie de leur contexte, à transformer la pensée individuelle et collective.