Professeur Didier Raoult – Vaccin, croyances et réalité
2 février 2022 00:51, par goy prideCe qu’il dit est valable pour les abrutis sous "mind control" (mass formation psychosis), c’est à dire les covidistes du quotidien, le genre de cons que tu croises dans la rue et qui te hurlent de mettre ton masque...mais pas pour les médecins et politiques de haut niveau qui savent parfaitement ce qu’ils font. L’imposture est trop évidente pour que ces gens ayant une formation scientifique et médicale ne puissent pas la voir. Les informations permettant de comprendre ce que sont ces injections et leur dangerosité sont largement disponibles et ne peuvent pas être ignorées sauf de le faire exprès. Certains ignorent délibérément ces infos non pas parce qu’au prise d’un fanatisme qui abolirait leur faculté de raisonnement mais par lâcheté pure et simple, d’autres par sadisme, cupidité...Rappelons un fait : de simples ouvriers agricoles et des milliers de scientifiques, médecins à travers le monde ont été capables de comprendre la dangerosité de l’injection juste en lisant les informations qui y sont relatives. Cela veut donc dire que l’on a à faire à quelque chose de tellement évident comme "l’eau ça mouille, le feu ça brûle..." que c’est accessible à la compréhension de tout être humain en possession d’un cerveau fonctionnel et d’un minimum de bon sens. Quant à l’argument de l’abolition des fonctions supérieures du cerveau en raison de la peur, de la fameuse "mass formation psychosis"...cela ne tient pas la route pour la plupart de ces soignants qui ont parfaitement conscience de ce qu’il se passe et de ce à quoi ils participent. Ce sont des gens solides sur le plan émotionnels qui dans le cadre de leur métier sont confrontés quotidiennement à la maladie, à la mort, à l’urgence...donc ce n’est pas une histoire de virus qui peut les mettre en sidération, abolir leur faculté de compréhension...ces gens sont juste soit d’une lâcheté inouïe, soit d’une extrême cupidité, soit des psychopathes, et ils auront à rendre des comptes devant les tribunaux.