Sur les hommes et les femmes : est-ce que l’intelligence (et son développement) ne répond pas tout simplement à la nécessité du genre ?
Pour la femme de séduire, ce qui ne nécessite pas beaucoup d’intelligence, car il s’agit de se faire belle et de "laisser venir" en gros ;
pour l’homme de conquérir, puisqu’il ne porte pas le monde, lui, il doit y trouver sa voie, plutôt élévatrice et vertueuse s’il veut s’épanouir, ce qui l’oblige aux considérations morales...
Et comme en ce début de millénaire, le relativisme ou nihilisme qui porte à l’immoralité, et le tertiaire qui peut être occupé par les deux sexes devenus interchangeables, il en résulte que l’Homme est moins homme mais la Femme plus "masculine", si on veut.
Parler de QI c’est comme ces psychanalystes qui vous apprendront que vos soucis proviennent de votre enfance : nein ! C’est l’idéologie de l’égalité à tout prix qui nous fait nous re-questionner sur des natures connues depuis la nuit des temps.
On s’en fout du QI, seule la question du QUI prévaut, d’ailleurs Freud "le père de la psychanalyse" n’était pas chrétien.
_
Cela étant : du fait de son rôle NATUREL de décideur, et de sa connaissance aigue du bien et du mal (pour choisir c’est pratique), l’Homme est aussi naturellement : un pervers !
C’est pourquoi je ne comprends pas la dernière phrase de NieTZsche : il peut y avoir aussi des interprétations immorales des faits, et ça nous tombe tous les jours sur la gueule !
En fait cette citation ne veut rien dire : si on parle d’"interprétation" c’est forcément qu’il y a hiatus ! Ya !
À quel moment le Bon sens est écrasé par la logique ou la morale ? Un esprit "peu éclairé" pourra avoir du bon sens, mais l’"esprit éclairé" lui rétorquera une autre version qui le fera changer d’avis !
Il y a une chose dont on ne parle jamais, c’est l’intuition première, qu’on soit gueux ou énarque : fin effleurement de la raison, voile discret de lumière sur l’être questionneur une parcelle de seconde, l’Intuition !
Dans la Tradition primordiale, chez les Anciens, y’a longtemps, avant les philosophes, c’est l’Intuition (première) qui était synonyme d’intelligence.
On s’est perdu dans les idées, et nos fausses idoles continuent à nous hanter l’esprit, lequel devrait pur et cristallin, à même de recevoir les ondes du Cosmos, qui sont d’autant de messages qu’a priori nous repoussons (peut-être pour y revenir) au bénéfice des Idées.
Malheur à nous : le lien entre Ciel et Terre est rompu !