Le changement climatique induit par l’homme. L’Homme. L’HOMME.
Mais pour qui on se prend ?
Est-ce qu’un jour on sortira du mensonge proféré par Al Gore, quand il voyageait en jet à travers l’Europe pour propager du chemtrail arc-en-ciel tout en prodiguant de beaux discours aussi alarmistes que complètement débiles ?
Depuis on nous parle de l’urgence de la transition écologique. Mais quelle misère !
Pour commencer, je rappelle qu’une transition et le passage d’une état A à un état B, les deux états étant connus.
Or, que fait l’Europe à ce titre ? On détruit ce qui était A, mais sans savoir ce que sera l’état B.
Exemples :
on décide de tuer le moteur thermique d’ici 2035, en croyant que cette destruction sera créatrice par magie ! Mais sérieusement, 650kg de batterie au lithium difficilement recyclable par cul de bagnole, c’est écolo ?
on ferme des centrales nucléaires pour des éoliennes prétextes à construire des centrales au charbon ou au gaz, c’est écolo ?
Maintenant analysons ces histoires de CO2, dont le business est devenu une véritable bourse.
L’humanité rejette 35 GT de CO2/an. Rappel, 1 GT = 1 000 000 000 tonnes
Quelle est la quantité de CO2 dans l’atmosphère ? Réponse : 400 ppm !
Faudrait surtout pas qu’on puisse comparer facilement le flux avec le stock. Mas si on cherche on trouve : 400 ppm c’est 0.4% de l’atmosphère terrestre.
D’où CO2 dans l’atmosphère : 2 600 000 GT !
Rejeter 35 GT dans 2600000 GT, c’est comme rajouter 35m à 2600km ...
Penser que la terre a quoi que ce soit à faire de nous, c’est croire qu’un moustique peut faire mal à une éléphante s’il la prend sauvagement !
Sans oublier que :
les océans reprennent 5 GT de CO2/an,
la végétation reprend 120 GT de CO2/an !
Bilan : chaque année la terre perd environ 90 GT de CO2 dans son atmosphère.
N’oublions pas qu’on n’est pas en période glacière. La végétation est luxuriante, ce qui diminue le CO2. La terre se refroidie ainsi petit à petit pour arriver à une ère glacière pendant laquelle, lentement, le CO2 augmentera à nouveau.
Le problème de la science, c’est d’abord de subir la déconstruction du concept de vérité.
Ensuite, qu’elle est de plus en plus orientée par des intérêts particuliers, la recherche fondamentale étant délaissée par les États.