Bas les masques, et vive la liberté
7 juillet 2020 17:10, par anonyme
La femme buzyn devant la commission parlementaire, qui ne cesse de soi-disant consulter ses ’’notes’’ répétant constamment : ’’excusez-moi’’ fait juste de la programmation neurolinguistique de broussaille avec ses auditeurs. Elle est inexcusable.