Madame Sarkozy, qui était très vraisemblablement au courant d’un "agenda", nous a bien montré début mars, en toussant avec affectation et en affirmant qu’il n’y avait aucun danger ni virus, que cette "pandémie", en France du moins, ressemble à une comédie quelque part.
C’est un virus de grippe fatal aux très-faibles et bientôt aux dépressifs, destiné à faire des expériences sur les Français in vivo. Deviendront-ils, dûment traités, culpabilisés, traqués, infantilisés, humiliés, ridiculisés, régentés et encadrés, voire bastonnés, des souris de laboratoire qui ne cherchent plus à monter dans la hiérarchie et à se placer socialement, mais des êtres dégoûtés d’eux-mêmes et des autres, le regard vide, MK-ultraïsés massivement. Ils sont déjà pas mal avancés dans le genre.
Les concepteurs de ce crime contre la dignité et la liberté sont des sales petits sadiques qui s’ennuient, enragés de leur propre vacuité. Allez savoir ce qu’ils font entre eux, avant de nous serrer le noeud coulant piano piano, allegro, etc.
Une jeune fille s’est déjà suicidée en GB. Elle pensait que le confinement, l’absence d’amis et d’études, allait durer toujours. C’est ce que laisse entendre le pouvoir.