Les statistiques sans appel firent foi : plus de 10 fois plus de morts, au 8 Avril 2020, dans les pays qui confinent toute la population (Espagne, Italie, France, Belgique) que dans ceux qui ne confinent que les seuls infectés (Allemagne, Autriche, Suède, Norvège, Corée, Japon, Singapour), m’amenant à me poser la question du pourcentage des policiers et gendarmes qui n’ignoraient pas qu’ils participaient à la surmortalité.
Le plus troublant, et très vite révélateur, aura été de remettre à leur place les chiffres de mortalité de cette pseudo-pandémie au regard de ceux de toutes les autres. Si tous les pays confinaient leur population, il serait fondé d’affirmer que c’est le confinement qui agit activement contre la propagation du virus, malheureusement l’observation conduit à penser l’exact contraire. Toujours est-il qu’un virus quatre fois plus mortel que la grippe, voire dix fois plus, ne justifierait pas le choix dément de mettre en péril toute une Économie mondiale, avec ses conséquences sanitaires prévisibles, sauf s’il y a des raisons à cela, comme une collusion d’intérêts économiques et politiques. Il est sensé d’y entrevoir la mainmise d’une perspective partagée et occulte de la Gouvernance mondiale. Pour construire un monde nouveau, en l’occurrence un monde d’esclaves dominés par les hyper-riches, et placés sous une surveillance électronique omniprésente et omnisciente, comme par des drones remplaçant les miradors, jusqu’au contenu des conversations privées et la localisation géographique en temps réel, ne faut-il pas détruire par la peur, l’enfermement, et la violence d’une paupérisation brutale, la vie des personnes ?
Déjà, la propagande LGBTiste, dont le prétexte était la défense de minorités, consista à être le travail de sape de la cohésion de la famille traditionnelle, en ce que sa disparition rend les individus isolés bien davantage dépendants de l’État, ainsi manipulables et sans autre force ni défense que la soumission à un régime et une pensée toujours plus totalitaires.