Sexe, sionisme et cinéma : Frédéric Beigbeder v(i)ole au secours de la dominance
6 mars 2020 16:28, par son of the tepu
y en a marre de ces Beigbeder , Artur et le vendeur de roses Hanouna qui a été jusqu’ à inviter Mennel pour continuer à lui faire la morale et comme par hasard , il retombe sur quelqu’un d’aussi clair que Ramadan qui lui explique déjà qu’il parle encore à sa place et précise : “Je ne regrette rien ” - on se rend compte que les gens clean parlent sans baisser les yeux pendant que ce clown passe son temps à faire semblant de lire ses papiers - l’arrogance est toujours là mais l’ expression est blafarde