Biraben horrifiée : Riss exhibe un numéro de Charlie avec un trou de balle des Kouachi
30 janvier 2020 13:53, par TeddyTed
Vous écrivez "Pour info, l’interview est ce qui se fait de plus fastoche en matière de journalisme. On est loin du travail d’enquête, c’est du spectacle et Biraben le dit bien. L’interview est le boulot des paresseux"
Il faut relativiser quand même. Certes la position de journaliste assis est plus confortable que celle du journalisme de terrain et/ou "d’investigation actif disons". Mais en ce qui concerne les interviewers, c’est un exercice où l’on repère immédiatement les bons des mauvais journalistes. A commencer par l’interviewé entre parenthèses.
C’est donc un exercice qui nécessite du travail.
Evidemment les gens comme Maitena Biraben sont disqualifiés. Malgré une escouade de petites mains, ils restent englués dans la morale de petit instituteur, ce qui ne fait jamais avancer les choses, et ce qui est le contraire de ce que demande le téléspectateur réveillé.