Responsabilité du mâle blanc : coup de gueule de Terry Gilliam
8 janvier 2020 23:56, par PeterEt de conclure : « J’en ai marre, en tant qu’homme blanc, d’être tenu pour responsable de tout cequi ne vapas dans le monde. Jesuis innocent ! »
Et ?
Boulevard Voltaire est un sens unique en cul2sac ou un rondpoint giratoire qui ne possèdes aucune sortie... et lorsque ta voiture tombe en panne suite à un épuisement... t’as la remorqueuse agréée qui viendra te ponctionner un petit billet au passage.
À quoi joue les personnes ayant ce genre de discours ?
Y’a bien un coupable quelque part ? Sur la tête d’AgathaChristie# !
N’est ce pas l’occasion de dénoncer les franc-maçons, le complexe industrialo-militaire ? Les grands médias dont les propriétaires sont presque toujours des marchands de canon ? Big Pyjama.. les laboratoires qui te cloueront sur un lit d’hôpital ?
Y’a pas moyen Papa de vider son sac ? Les armées secrètes de l’OTAN et leur false flags. Le Mossad qui brague comment il est efficace dans ses coups tordus et Netflix qui multiplie les séries à sa gloire ?
Si ça n’est l’Homme blanc, c’est peut être les bougnoules du désert en Arabie saoudite maudite qui nous vendent un pétrole bon marché pour la croissance de nos économies et accessoirement des putes et des casinos sur la Côte d’Azur pour nos fidèles amis ?
Me#too... vas’y bourre moi le mou !!
Trop difficile Papy de dénoncer l’industrie de la pornographie qui fait plus de fric que l’industrie du divertissement, cinéma et musique réunis ?
L’extrême chance, au passage, des enfants des blancs de vivre en occident et en moyenne d’être confronté à une image pornographique avant l’âge de 12 ans grâce aux fournisseurs d’accès complices de ces gros, gros clients ?
Dans son incapacité de dénoncer les coupables l’homme « blanc » est perçus comme complice, coupable ? Si il n’y a que des victimes.. le coupable est celui qui n’a pas d’alibi ? Faut pas confondre Ali Baba et les 40 voleurs ? Cryptogramme ouvre toi...
L’Homme blanc semble vouloir se faire sa petite place de minorité opprimée... une sorte de mimétisme de la merde ambiante... C’est exactement ce qu’il décrit... la possibilité d’être une noire transgenre lesbienne sur un fauteuil roulant thermique.
Whaouh... ça dénonce sec... il a failli me percer un tympan et me décoller la rétine.. heureusement que je ne suis qu’à moitié attentif... le kif cependant... un sans dents avec des graines d’oiseaux.. il te confectionne des pop-corn et s’imagine son petit cinéma.. Priceless...
Chui’ impressionné