L’eau potable de six millions de Français contaminée au tritium
19 juillet 2019 23:15, par SatoLes centrales nucléaires vraiment la source du Tritium dans notre eau potable ? Après l´absurde campagne contre le "réchauffement climatique" (tandis que la canicule règne en France, il faut presque se chauffer en Allemagne le soir...), la croisade contre les centrales nucléaires ? Si le "RC" n´est pas global, peut-on parler de "réchauffement climatique" ? Ne devrait-on pas parler plutôt de "temps" ? Cette campagne ve viserait-elle pas à toute autre chose que notre bien physique, notre santé ?
"Contrairement à ce que proposent les ignorants et les menteurs, les pulvérisations de chemtrails les plus courantes contiennent de l’aluminium, du baryum et du strontium, dans cet ordre. Probablement des centaines de fois, des analyses de laboratoire menées dans le monde entier l’ont confirmé. (...)
Différentes substances différentes utilisations :
Les particules d’oxyde d’aluminium pour modifier le temps : Lorsque des particules minuscules sont dispersées et ensuite activées par l’énergie électromagnétique requise, elles se réchauffent. Lorsque de larges volumes de particules de la basse atmosphère sont chauffés, une zone de haute pression est créée... Combiner la capacité documentée de chauffer l’ionosphère et celle de modifier les courants d’air, ainsi que de nombreuses autres techniques, voilà comment on modifie le temps...
Un peu plus tard dans "Les sciences atmosphériques 1961-1971", les auteurs s’étendent davantage sur l’utilité des isotopes radioactifs. Sous le titre « La recherche sur les traceurs », les auteurs du rapport écrivent : « Quand sont utilisés des composés radioactifs contenant du TRITIUM ou du carbone 14, leurs temps de désintégration radioactifs conduisent à un calcul du temps écoulé depuis la formation de l’eau ou du dioxyde de carbone dans l’échantillon. Ainsi, il est possible de dater l’eau de pluie et l’eau dans les puits, les rivières et les océans, et d’utiliser cette information pour étudier les processus d’échange entre la haute atmosphère et la basse atmosphère, entre l’atmosphère et les océans, et entre l’atmosphère et la Terre. La recherche dans ce domaine doit être poursuivie vigoureusement. » Ce passage explique comment le baryum est utilisé aujourd’hui comme moyen pour retracer l’ensemble du cycle hydrologique."
http://www.cielvoile.fr/2015/07/alu...
Levez la tête et regardez votre ciel...